.AMOK TIME.
STAR TREK TOS, saison 2 épisode 1 : titre français : le mal du pays
Gene Roddenberry - Réalisateur : Joseph Pevney - scénariste : Theodore Sturgeon - musique Gerald Fried
Le mal du pays / Amok time est l'un de mes épisodes préférés. Je vous propose de le regarder avec moi, à travers mes yeux. J'ai imaginé leurs émotions, je n'ai rajouté aucune scène. Les dialogues sont ceux du script que j'ai traduits, ou repris dans la version sous-titrée en Français. Je n'ai ajouté aucune scène ni dialogue. Les relations entre les personnages sont 100% canon, il n'y aura ni Spirk, ni McSpick. Cette fiction se composera de 6 chapitres. Comme d'habitude, tous sont déjà écrits.
En juin 2016, j'ai publié ma toute première fanfic en me lançant le défi d'écrire des lemons avec une vraie histoire autour. Cette fois-ci, mon pari est d'écrire sans aucun slash, ni lemon, et surtout en usant du présent de l'indicatif, (je suis beaucoup plus à mon aise avec les temps du passé) C'est une écriture tellement différente que je me sens un peu maladroite. Aussi j'en appelle à votre bienveillance.
Prenez le temps de me laisser un petit commentaire
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.AMOK TIME.
Chapitre 1 – Haishaya t'Spohkh / La requête de Spock
Date stellaire : 3372.7
─ Oh, Capitaine. Vous avez une minute ?
Le Capitaine Kirk réprime un soupir désabusé en entendant la voix du docteur McCoy retentir derrière lui. Le médecin s'est donné la peine de partir à sa rencontre au lieu de le contacter via l'intercom, il doit probablement faire face à un préoccupation de nature confidentielle. Vient-il le sermonner parce qu'il a, encore, oublié de venir passer son examen mensuel de routine ? Sont-iels sous la menace d'une nouvelle épidémie dont lui seul aurait vu les signes avant-coureur? La dernière grippe thélusienne, bien que tout à fait inoffensive, lui avait provoqué une semaine de céphalées tenaces. Elle a surtout mis totalement KO un tier de l'équipage pendant neuf jours terrien, paralysant le fonctionnement normal du vaisseau.
Kirk s'arrête au milieu du couloir et se retourne, bien décidé à ne pas perdre de temps :
─ Une minute.
McCoy est si préoccupé qu'il ne remarque même pas la réticence de son capitaine.
─ C'est Spock. Avez-vous remarqué quelque chose d'étrange chez lui ?
Ah, voilà, c'est reparti avec ses récriminations vis-à-vis du «bon sang de lutin au sang vert sans émotion». Kirk ne se sent pas la patience d'écouter encore ces éternelles litanies au sujet du Vulcain qui renâcle à se soumettre aux visites médicales de contrôle, aussi il élude la question :
─ Non, rien de particulier. Pourquoi ?
Le ton est un peu sec. Le Capitaine n'est manifestement pas disposé à l'écouter.
McCoy s'efforce donc d'expliquer succinctement le problème qui le tracasse en pesant chacun de ses mots :
─ Eh bien, il n'y a rien que je puisse mettre en évidence sans examen, mais il est devenu de plus en plus récalcitrant. S'il n'était pas vulcain, je dirais presque ….nerveux. De plus, il refuse de s'alimenter. J'ai vérifié et il n'a absolument rien mangé depuis trois jours.
Kirk connaît bien son Officier en Second. Tous deux sont devenu amis au cours de la première année de cette mission quinquennale. Il arrive, parfois, qu'il ait des phases pendant lesquelles il devient plus introverti. Surtout lorsqu'une expérimentation ou une recherche scientifique le fascine, au point d'y consacrer toutes ses heures de travail et de repos, de jour comme de nuit, oubliant de manger et de dormir. Il n'y a vraiment pas matière à en faire tout un drame.
─ M. Spock est simplement dans une de ses phases contemplatives…
Il se tait en voyant une charmante demoiselle blonde, aux yeux aussi bleus qu'un ciel d'été, surgir du tournant du couloir. L'infirmière Chef Christine Chapel. Elle porte un plateau sur lequel se trouve une assiette creuse coiffée d'un couvercle. Elle s'arrête pile en voyant le Capitaine et le Médecin-Chef. Visiblement embarrassée, elle rougit et tente de rebrousser chemin.
McCoy a deviné la raison de sa présence. Le hasard a voulu qu'il croise Jim sur le pont 5, le quartier des officiers, à deux pas de la cabine de Spock. Il lui fait signe de venir en souriant avec bienveillance.
─ Mlle Chapel.
Elle s'efforce de sourire à son tour au médecin.
─ Docteur McCoy.
Profitant de cette diversion opportune, Jim tente de filer à l'anglaise mais McCoy le rappelle aussitôt à l'ordre:
─ Capitaine.
Kirk ne proteste même pas. Le médecin a d'autres informations à lui transmettre, il ne laissera partir uniquement après lui avoir fait l'intégralité de son rapport médical. Bones est ainsi, aussi têtu qu'une bonne vieille mule. Autant prendre son mal en patience, et retourner auprès de lui.
L'infirmière le salue poliment :
─ Capitaine.
McCoy se penche au dessus du plateau pour renifler
─ Qu'est-ce que c'est ?
─ Oh... Balbutie-t-elle
McCoy soulève le couvercle et hume le contenu de l'assiette. Le fumet épicé, reconnaissable entre mille, parvient jusqu'aux narines de Kirk. Il dissimule habilement son amusement. Lui aussi a deviné pour qui a été mitonné ce petit plat.
McCoy esquisse un large sourire : il reconnaît bien là la délicate prévenance de son infirmière.
─ Oooh ! De la soupe vulcaine au plomeek, et je parie que c'est vous qui l'avez cuisinée. Vous n'abandonnez jamais espoir, n'est-ce pas ?
Elle rougit au sous-entendu. Il lui est parfois bien difficile de cacher ses sentiments romantiques vis-à-vis de l'inaccessible Monsieur Spock. Elle essaie de ne pas bafouiller en donnant une raison rationnelle à ses actes
─ Eh bien… M. Spock n'a pas mangé, Docteur. Et je… je l'ai remarqué par hasard.
McCoy ne relève pas le pieux mensonge de son infirmière en chef. Il approuve totalement cette initiative qui pourrait mettre fin à l'incompréhensible jeûne de Spock.
─ Ce n'est pas grave, continuez, Mlle Chapel.
Elle hoche la tête et va aussitôt sonner à la porte des quartiers de Spock. Elle y entre sans attendre d'y être invitée.
Bon, tout cela est mignon-tout-plein, mais Jim a bien d'autres choses à gérer :
─ Bones, je suis un homme occupé.
Puisque Jim sembler refuser de le prendre au sérieux, autant tout lui révéler :
─ Jim, lorsque j'ai suggéré à Spock qu'il était temps de faire son examen de routine, votre premier officier si-plein-de-logique et dénué-d'émotion s'est tourné vers moi et m'a dit : vous allez cesser de vous mêler de mes affaires personnelles, Docteur, ou je vais assurément vous briser le cou.
Le ton du médecin se fait plus sévère alors qu'il répète mots pour mots ceux du Vulcain.
─ Spock a dit ça ?!
Voilà qui est tout à fait irréaliste! Certes, Bones a la manie de surinterpréter tout ce qui concerne Spock, mais il ne ment jamais...
La porte des quartiers de Spock s'ouvre sans qu'ils n'y prêtent attention.
La voix du Vulcain éclate soudain, grave, puissante, furieuse, elle déchire l'ambiance calme de la coursive :
─QU'EST-CE QUE C'EST ?
Miss Chapel est précipitée hors de la cabine avec un cri d'effroi, comme si on l'avait brutalement repoussée. Elle s'abrite juste à temps contre la cloison pour éviter le bol de soupe qui éclate en morceaux sur le mur opposé. Le précieux breuvage dégouline le long de la paroi en laissant des traces rouges.
La voix exaspérée fulmine à nouveau:
─ ON ESPIONNE ET ON FOUINE! SI JE VEUX QUELQUE CHOSE DE VOUS, JE VOUS LE DEMANDERAI!
Spock jaillit de ses quartiers, les traits tendus par une sourde fureur, les sourcils froncés. Ses yeux sont deux puits de feu sombre. Il regarde l'infirmière avec une hostilité choquante.
Abasourdi, Kirk n'en croit ni ses yeux ni ses oreilles. Il n'a jamais vu son ami dans un tel état.
Le Vulcain prend conscience de la présence du Capitaine et du médecin qui le dévisagent avec stupéfaction. Il tente de se recomposer une contenance, d'afficher un semblant de calme. Il se redresse, prend une courte inspiration avant de reprendre la parole. Son phrasé est rapide comme s'il craignait de perdre le fil de ses mots.
─ Capitaine, je souhaiterai demander une autorisation de congés sur ma planète natale. En suivant notre trajectoire actuelle, vous pouvez faire un détour vers Vulcain avec une perte de seulement deux virgule huit jours-lumière.
L'impassible Spock. En colère?! C'est insensé! Pire encore, cet infatigable travailleur demande un… congé ?! Bones a raison, son état est préoccupant. Sidéré, Jim vient à lui, il ne réprime pas sa sollicitude dans la bienveillance de sa voix
─ Spock, qu'est-ce que c'est que cette histoire ?
Mais la réponse tombe, tranchante et définitive:
─ J'ai fait ma demande, Capitaine!
Kirk est sans voix : jamais Spock n'a parlé à quiconque sur ce ton!
─… Tout ce que j'attends de vous, c'est que vous y répondiez. Oui ou non.
Sans même attendre la réponse du Capitaine, il recule et retourne dans ses quartiers. La porte se referme au nez du Capitaine, totalement désarçonné par cette situation invraisemblable.
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Espace, frontière de l'infini vers laquelle voyage notre vaisseau spatial l'Enterprise.
Sa mission de 5 ans : explorer de nouveaux mondes étranges, découvrir de nouvelles formes de vies, de nouvelles civilisations ;
et, au mépris du danger, aller audacieusement vers l'inconnu.
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Kirk ne peut pas laisser passer un tel comportement à la limite de l'insubordination. Il entre dans la cabine de Spock sans y être invité. Celui-ci l'y attend, debout, rigide, les mains dans le dos. Il semble refuser de croiser les yeux de son Capitaine. Son regard reste obstinément fixés sur un point invisible sur le mur.
Son second ne lui facilitera pas la tache. Kirk fait un pas vers lui, et ordonne d'une voix neutre:
─ Très bien, Spock, allons-y.
─ Il est indigne pour une femme de jouer les servantes d'un homme qui n'est pas le sien….
Tout est stupéfiant dans l'argumentation de Spock : l'exaspération qu'il ne modère pas, la teneur de la réponse qui n'est pas adaptée à la question. Kirk se retient de lui répliquer que Miss Chapel ne s'est pas comportée en servante mais en amie dévouée.
─ Je suis plus intéressé par votre demande de congé à terre. Depuis toutes ces années…
Spock ne le laisse même pas finir sa phrase :
─ Vous avez ma demande, Capitaine. Allez-vous l'accorder ou non ?
Encore ce ton impatient qui ne lui ressemble pas! Kirk raffermit sa voix pour lui signifier son autorité de Capitaine
─ Depuis toutes ces années que je vous connais, vous n'avez jamais demandé de congé de quelque nature que ce soit. En fait, vous les avez tous refusés. Pourquoi maintenant ?
Les mots du Capitaine sont d'une logique implacable. Spock baisse la tête et pince les lèvres.
─ Capitaine, Répond-il d'une voix presque mesurée. J'ai sûrement accumulé suffisamment de congés…
Spock a bien saisi la demande de Kirk, mais il refuse d'aborder ce sujet, en rongeant son exaspération face à cette curiosité intrusive.
Kirk ne le laisse pas poursuivre:
─ Effectivement, mais là n'est pas la question, n'est-ce pas ?
Spock lève brièvement les yeux et croise ceux du Capitaine. Il voit son inquiétude, mais il ne peut rien lui révéler de l'épreuve qu'il traverse. Il prend une discrète et profonde respiration. Il baisse à nouveau les paupières, pince les lèvres. Il se laisse presque tomber dans son fauteuil de bureau.
Kirk ne l'a jamais vu agir ainsi, ce comportement est tout à fait anormal, alors il insiste, d'une voix plus douce
─ S'il y a un problème quelconque, une maladie dans la famille…
─ Non, rien de tel, Capitaine.
Sa voix est presque calme à présent. Elle camoufle imparfaitement la fureur qui gronde en lui. Kirk en a assez vu et entendu, il décide de ne pas s'acharner. Spock a toujours été très secret pour tout ce qui concerne sa vie intime. Son ami a besoin d'acte concret, pas d'une oreille à laquelle faire des confidences. Il faut donc une solution plus rapide qu'un détour sur Vulcain. Il ne fait aucun doute que Spock en acceptera la pertinence. Il propose en se dirigeant vers la porte
─ Alors, puisque nous nous dirigeons vers Altair Six, et que les installations terrestres y sont excellentes…
Spock se lève d'un bond, sa voix est véhémente.
─ NON! Il faut que…
Jim se retourne, étonné par la colère mêlée de panique qu'il perçoit dans ce cri.
Spock reprend la parole avec moins de dureté. Il garde la main droite dans son dos, serrée convulsivement autour du stylet de son pad.
─ Je dois le faire. Je souhaite prendre mon congé sur Vulcain.
Kirk revient vers Spock, sa sollicitude et son empathie sont lisibles dans chacun de ses traits. Il réfrène son envie de poser la main sur l'épaule de Spock. Il reste à la distance réglementaire, les mains dans son dos, afin de ne pas le provoquer ou l'incommoder.
─ Spock, Demande-t-il avec bienveillance. Je vous le demande. Qu'est-ce qui ne va pas ?
Les yeux d'obsidienne tranchante du Vulcain croisent les ocres brunes de ceux de l'Humain. Spock reprend son souffle. Il tente à nouveau de se recomposer un visage neutre sans y parvenir vraiment. Il ne peut pas révéler à son ami cet indicible qui le ronge, il refuse d'en évoquer ne serait-ce qu'un mot. Il s'efforce de répondre avec plus de calme, mais sa voix reste rocailleuse.
─ J'ai besoin… de repos.
Il respire avec difficulté entre chaque mot qu'il prononce, l'effort qu'il doit faire pour se contenir et ne pas exploser à nouveau est éprouvant.
─ Je vous demande d'accepter cette réponse.
Kirk hoche la tête et accepte sa défaite. Spock ne se confiera pas à lui. Il souhaite soutenir son ami, mais on n'aide pas une personne contre son gré. La seule chose qu'il peut faire est d'accéder à sa demande. Il passe à côté de Spock et le contourne pour accéder au communicateur. Il se penche pour enclencher une communication
─ Passerelle. Pilotage.
─ Oui, Capitaine ? répond le lieutenant Sulu
─ Changez de cap vers Vulcain. Augmentez la vitesse à la distorsion quatre. Ordonne-t-il d'une voix tranquille. Sa position lui permet de voir le dos de Spock, les mains de Spock, les doigts de Spock, serrés, non, crispés à en être blancs, autour du stylet… il ne fait cependant aucune remarque. Son ami est si fier de son self-contrôle et cette situation est déjà suffisamment humiliante pour son orgueil Vulcain.
─ A vos ordres.
─ Merci, capitaine. Articule Spock d'une voix devenue gutturale
Jim lui sourit avec indulgence et il commente d'une voix légère avant de sortir
─ Je suppose que la plupart d'entre nous oublient que même les Vulcains ne sont pas indestructibles.
─ Non. Articule Spock une fois la porte refermée.
Il lève sa main droite qui tremble convulsivement et la contemple avec amertume.
─ Nous ne le sommes pas.
Journal de bord du capitaine, date stellaire 3372.7.
En route, à l'heure prévue, à destination d'Altair Six via Vulcain. L'officier en second Spock semble sous l'emprise d'une crise de stress. Il a demandé et obtenu une permission à terre. Le médecin de bord McCoy l'a placé sous surveillance médicale.
Comme à son habitude, Kirk fait le tour de la passerelle pour s'assurer que tout est OK. Mais son esprit est ailleurs, totalement polarisé sur Spock. Son officier en second a repris sa place à sa console, il a recouvré son apparente neutralité.
Uhura interrompt ses ruminations :
─ Capitaine, quelque chose arrive sur le canal de Starfleet. Prioritaire et urgent, monsieur.
Serait-ce un problème de plus? Ce genre de communication transmet rarement de bonnes nouvelles.
─ Mettez-le sur audio ici, Lieutenant.
─ Message complet, monsieur. Diffusion en audio.
« Au Capitaine, USS Enterprise du Secteur Neuf de Starfleet. Les cérémonies d'inauguration de Altair Six ont été avancées de sept jours solaires…»
Spock se raidit imperceptiblement, Kirk soupire de dépit. L'un comme l'autre anticipent la suite du message.
«… Vous êtes tenus de modifier votre plan de vol en conséquence, par ordre de l'Amiral Komack, commandant de Starfleet . Confirmez!»
Les yeux de Kirk se posent sur Spock. Le Vulcain se tient bien droit, son visage est dénué de toute forme d'émotion, il est presque normal.
─ Lieutenant Uhura, accusez réception de ce message.
─ Aye, aye, monsieur.
─ Monsieur Chekov, calculez le cap et la vitesse requises pour vous conformer.
─ Nous devrons nous rendre là-bas directement en distorsion six, monsieur. Le temps sera insuffisant pour nous arrêter à Vulcain.
─ Dirigez-vous directement vers Altair Six.
Kirk se rapproche de son Second :
─ Malchance du Marin, Monsieur Spock. Ou, comme le dit l'une des lois de Finagle* , "Tout port d'attache du vaisseau sera celui de quelqu'un d'autre, mais pas le mien". Le nouveau président d'Altair Six avance les festivités d'une semaine, donc nous devons y être une semaine plus tôt. Ne vous inquiétez pas. Ajoute-t-il à mie voix avec un soupçon d'inquiétude. Je veillerai à ce que vous obteniez votre congé dès que nous aurons terminé.
Spock a lu les articles fantaisistes de la Loi de Murphy, que Kirk vient d'adapter à la situation « Quand arrive un problème, un ennui supplémentaire survient toujours à ce moment-là pour empirer la situation. ». L'un des corollaires de ces lois lui apparaît soudain absurdement prémonitoire « Tout ce qui peut aller mal le fera au pire moment. » Un fleuve d'acide se déverse dans ses veines, il lui reste juste assez de force psychique pour endiguer la crise de panique mêlée de fureur qui tente de prendre le contrôle de son esprit. Sa voix est calme et mesurée lorsqu'il répond à son Capitaine
─ Je comprends très bien, Capitaine.
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À suivre...
NOTES DE FIN DE CHAPITRE
Loi de Murphy, Lois dérivées ou apparentées
Youtube «La loi de Murphy n'est pas ce que vous pensez» par Angelo Mathémélo, pour une explication à la fois simple, drôle captivante et pertinente
Première diffusion USA : 15 septembre 1967, La version francophone fut diffusée au Québec en 1971. En France, cela attendra le 31 juillet 1986 lors de la rediffusion de l'intégrale de Star Trek sur La Cinq (soit 19 ans après la première diffusion!)
SCRIPT: disponible sur le site chakoteya point net StarTrek/episodes
Équipage de l'Enterprise :
William Shatner : Capitaine James T. Kirk / Leonard Nimoy : lieutenant-commandant Spock / DeForest Kelley : Docteur Leonard McCoy
George Takei : lieutenant Hikaru Sulu / Nichelle Nichols : lieutenante Uhura / Walter Koenig : Lieutenant Pavel Chekov / Majel Barrett : Chef infirmière Christine Chapel
Personnages Vulcain
Celia Lovsky (Guest Star) : T'Pau / Arlene Martel - T'Pring / Lawrence Montaigne - Stonn
Doublures combat Kal i fee
Phil Adams pour William Shatner / Dave Perna pour Leonard Nimoy
L'épisode fut nommé aux Hugo Award de 1968 dans la catégorie "Best Dramatic Presentation". C'est aussi l'un des épisodes préférés de Leonard Nimoy avec Les Mines de Horta, Contretemps, Un tour à Babel, Un coin de paradis et L'Équipage en folie.
Le réalisateur Joseph Pevney le considère aussi comme son épisode le plus réussi de la série.