Titre : A familiar Place
Résumé : Voldemort est mort. Et c'est pour une huitième année qu'Hermione, Draco et quelques autres élèves se préparent pour une nouvelle année! Entre mystère et romance. une histoire que vous n'oublierez jamais.
Bêta lectrice :
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas et l'histoire non plus ... Elle vient de la très talentueuse auteur , qui a eu la gentillesse de bien vouloir me laisser traduire son histoire.
Note : Cette histoire se situe après la septième année. Il y aura bien sûr de l'amour entre nos deux protagonistes préférés mais aussi beaucoup de suspense!
Fréquence de postage de chapitre : Je pars en vacances samedi et je reviens mi-Aout. Pour me faire pardonner à mon retour de vacances vous aurez le droit à 2 chapitres!
PS : N'hésitez pas à me poser des questions, je me ferais une joie d'y répondre.
J'espère vraiment que ce chapitre vous plaira...
Réponses au review anonymes :
emilie : Merci beaucoup je suis contente que ça te plaise!
Oo°oO
Chapitre IV:
Les cours commencent :
Les secondes se transformèrent en minutes, les minutes se transformèrent en heures, et le plus importantes de tous, les heures se transformèrent en jours. Bientôt, la première semaine était terminée. Hermione s'était reposé dans son lit le samedi matin, ne s'étant pas sentit aussi heureuse depuis longtemps . Sa vie avait de nouveau une structure. Sa vie avait de nouveau de l'ordre. Elle était de retour à l'école et ça faisait du bien. Elle suivait une routine qu'elle aimait, et elle sourit rien qu'en pensant à ça. Elle sauta du lit et décida de travailler un peu. Il était toujours très tôt. Le ciel avait toujours une tonalité rosâtre, et il y avait de la condensation sur sa vitre. Elle se rendit compte qu'elle avait beaucoup de temps pour réviser avant le petit déjeuner. Aucune heure n'aime le présent !
Elle aimait la manière dont les cours se déroulaient. Le groupe entier se réunissait le matin, pour que le professeur Stephens leurs donnent des instructions. Il leur donnerait leurs prochaines leçons, et les laisserait travailler. Certains d'entre eux fonctionneraient par de petits groupes et certains seuls. Ils avait écopé de beaucoup de liberté, ce qui était parfait en ce qui concerne Hermione. On leur avait également permis d'y aller à leur propre rythme, ce qui signifiait qu'Hermione était déjà allé bien plus loin dans le programme que le reste de la classe.
Le Professeur Stephens les rencontrerait encore en milieu de journée et aussi vers le soir. Ils rencontreraient également certains des autres professeurs, si ils avaient n'importe quelles questions à quoi le professeur Stephens ne pourrait pas répondre, ce qui n'était pas un événement fréquent.
Ils avaient Charmes, Histoire de la magie, herbologie et potions magique, le lundi et mercredi. Le mardi et jeudi, ils avaient Métamorphose, Défense contre les forces du mal, Astronomie, et l'étude des Moldus. Vendredi ils avaient Arithmancie et runes antiques. Pas une personne s'était inscrite au soin des créatures magiques ou à la divination, ce qui signifiait que ces deux cours avaient été abandonnés. Puisque Hermione n'avait pas pris l'étude des Moldus, son internat pour les potions magiques était programmé pendant les mardi et jeudi après Malfoy et Michael Corner avaient également cours à la même heure . Le nouveau professeur de potions magiques était un grand mage nommé Mankin, et Hermione l'avait trouvé fascinant. Il était très beau et avait un très bon sens de l'humour. Il avait voyagé dans le monde entier et avait vu tant de choses. Il était fortement intelligent, et pas seulement en potion magique. Ses internes faisaient des choses plutôt intéressantes comme faire d'authentiques potions et aller dans la fôret interdite pour collecter des spécimens. Quand Hermione avait entendu cela, certains des internes des autres matières avaient été réduis à aider le professeur ; Les formulaires de matières semblable, elle était définitivement très chanceuse en effet, même si cela signifiait passer du temps avec Draco et Micheal Corner.
Elle s'était habitué à Draco. Il était silencieux et réservé pendant leurs cours, choisissant de travailler seul, tout comme Hermione. Il parlait rarement pendant leur temps d'internat. Michael était différent. Hermione l'avait jamais vraiment aimé. Il avait été un membre de l'Armée de Dumbledor, et il avait souvent complimenté Hermione au cours des années pour son intellect, tout comme son meilleur ami, Terry Boot. Au contraire de Terry, qu'Hermione trouvait plaisant et affable, elle trouvait Michael un peu hautain et arrogant. Il était également évident qu'il n'aimait pas du tout Malfoy. La plupart des huitième années avaient décidé de donner à Draco un espace large, l'ignorant ou l'évitant. Michael d'une part, semblé en conflit avec Draco, par deux fois il était venu chercher les ennuis auprès de ce dernier, sans aucune raison apparente. Draco ne semblait pas vouloir suivre le comportement antagonique de Michael, et il avait favorablement évité toutes les confrontations. Et pour cela, Hermione était fière de lui.
Le Vendredi était un jour libre pour la plupart des huitième années, puisque seulement cinq personnes avaient pris Arithmancie et runes antiques, qui était Hermione, Draco, Michael, Terry Boot et Padma Patil. Ceci s'était avéré être le jour préféré de tous. Elle aimait les deux matières, bien qu'Arithmancie lui ait parfois donné quelques problèmes. Puisqu'il n'était que cinq d'entre eux, ils décidèrent de travailler ensemble, au même rythme, ainsi ils pourraient mieux s'entre aider.
Elle avait du travail à faire dans chaque matière, ainsi elle serait probablement à son bureau ou dans la bibliothèque tout le weekend-end. Elle était finalement descendue pour déjeuner ce matin-là, sous l'insistance de Dean, mais à peine eut-elle manger qu'elle retourna au travail. Luna frappa à sa porte vers 10 heures et lui demanda si elle voudrait aller au Pré-au-lard avec elle, Neville, et Justin Finch-Fletchery . Hermione pensa tout d'abord à la tonne de travail qui l'attendait puis elle pensa au fait que ce serait peut être divertissant d'y aller. Elle dit à Luna qu'elle devait prendre une douche d'abord. Ils avaient décidé de partir à 11 heures.
Après s'être habillée, elle quitta sa chambre, pour aller retrouver les autres, quand elle vit Draco marcher à la hâte, avec ce qui semblait être du sang sur sa lèvre. Elle regard derrière elle, et puis regarda la porte menant hors du couloir. Elle courut jusqu'en en bas du hall et dit à Neville qu'ils devraient continuer sans elle, et qu'elle serait là sous peu. Il protesta au début, mais elle lui promis qu'elle viendrait, mais qu'elle avait juste quelque chose à faire d'abord, et qu'elle ne voulait pas qu'ils l'attendent.
Elle courut de nouveau jusqu'à la chambre de Draco et frappa à la porte. Comme il n'y avait pas de réponse, elle mis son oreille contre la porte et dit, « Malfoy, est-ce que tu es la dedans ? » C'était stupide de demander vu qu'elle l'avait vu rentrer dans la chambre quelques minutes avant. Comme il ne répondait toujours pas, elle essaya d'ouvrir la porte. Quand elle posa sa main sur la poignée de la porte, cette dernière s'ouvrit subitement ce qui fit tomber Hermione et Draco dans la chambre.
Il lui dit, « C'est si gentil que tu sois tomber sur moi. »
Elle le regarda en se relevant sur ses genoux et lui dit, « Bonjour. »
Il secoua la tête en signe d'incrédulité la plus totale. Il marcha jusqu'à son lit et s'allongea au travers de son matelas. Elle se leva et ferma la porte. « Qu'est-ce qui ne va pas ? » demanda-t-elle, « Comment est-ce que tu t'es blessé à la lèvre ? »
« Je me suis buté et je suis tombé. Il semble que je sois aussi maladroit que toi. Y a t-il d'autres informations que tu désirerais connaître? » lui dit-il s'arrêtant sur chaque mot, tout en regardant fixement le plafond.
Elle arriva près de lui et regarda plus attentivement sa lèvre. « On dirait plutôt que quelqu'un t'as frappé, » conclut-elle.
« Mon..., oh mon..., mais ta capacité de déduction est presque aussi bonne que ta capacité à ennuyer les gens, » lui indiqua Draco en la regardant durement.
Elle s'assit sur son lit, près de lui, ce qui fit reculer Draco, pendant qu'il criait pratiquement, « Mais par Merlin, qu'est-ce que tu crois que tu es en train de faire, Granger ? »
« Laisse-moi regarder ta lèvre, »lui dit-elle, se pliant plus étroitement, regardant fixement sa lèvre inférieure, qui était gonflée et qui était enduite du sang desséché. Elle mit le bout de son doigt sur sa lèvre, ce qui le fit reculer. Pas de douleur, mais plus par le fait qu'elle l'ait touché. Il emprisonna son poignet et l'éloigna de sa figure.
La proximité de son corps à côté de lui le rendait très inconfortable. Qui pensait-elle être, assise sur son lit, et toucher son visage? Il devait la repousser, la repousser physiquement parlant, il fit la seule chose qu'il savait être efficace, ainsi il lui dit, « Sors de ma chambre, espèce de Sans-de-bourbe » et alors seulement il libéra son poignet.
Cela eu l'effet escompté. Elle sauta hors du lit et se tourna rapidement sur ses talons. Si elle pouvait juste partir après ça, il pourrait passer sa journée, à broyer du noir, renfrogné, mais non, elle devait avoir le dernier mot. Elle devait lui faire regretter d'être né, elle lui dit, « Je suis désolée, Malfoy. J'étais inquiète pour toi. Si tu ne veux pas de mon amitié, c'est ton choix, mais s'il te plaît ne m'appelle plus par ce nom. Il me blesse vraiment. » quand elle avait dit ça, elle n'était pas du tout en colère. Elle ne l'avait pas dit avec ressentiment. Elle l'avait dit avec tristesse et douleur. Condamnez-la.
Elle atteignit sa porte et mis sa main sur la poignée quand il se releva de son lit et pris une position assise. Il dit alors deux mots qu'il n'aurait jamais penser dire à quelqu'un de toute sa vie, du moins il s'en serait rappeler. Il lui dit, « je suis désolé. »
Elle revenu , choquée qu'il lui ait fait des excuses sincères. Elle revenue plus près, et s'assit sur la chaise près de son bureau. « Qu'est-ce qui s'est passé? » demanda-t-elle. Voulait-elle vraiment savoir ?
«Juste un fichue septième année qui pensait me mettre sur le dos tous les crimes des mangemorts » dit-il solennellement.
« Tu devais savoir que ton retour ici serait difficile. Tu devais réaliser que les gens réagiraient comme ça, » dit-elle, puis elle ajouta, « Tu devais aussi savoir que tes actions passées reviendraient te hanter. »
Draco voulu dire, `Mais pourquoi tu ne me détestes pas ? 'ou `Pourquoi tu ne me blâme pas? 'À la place il dit « Je sais. »
« Écoute, » commença-t-elle, « certains d'entre nous se rendent au Pré-au-lard. Viens, ce sera une bonne distraction pour toi. Aucuns étudiants ennuyant. Je pourrais même t'offrir une bierre au beurre si tu es sage. » lui sourit elle.
« Tu me le promets? » dit-il avec sarcasme.
« J'ignore toutes les choses grossières que tu me diras aujourd'hui. Je viens juste de le décidé, » répondit-elle.
« Tu y vas avec tes amis, Granger, » dit-il, retournant se coucher dans son lit en mettant un bras le long de son corps et l'autre bras sur ses yeux.
Il pouvait la sentir se tenir juste au dessus de lui. Pourquoi n'était-elle pas déjà partie? Il pourrait peut être encore l'appeler 'sang-de bourbe', ça l'a ferait partir à coup sur. Il était sur le point de le faire, quand il fût choqué encore une fois car Hermione venait de le retoucher !
Hermione atteignit la main du Draco, qui a été juste devant ses yeux. Elle l'a tira de sa perche au-dessus de son visage et l'a plaça sur le lit, près de son corps. C'était un contact innocent, mais du point de vue de Draco, c'était comme si quelqu'un l'avait choqué avec 1000 volts d'électricité. D'ailleurs, ce qui le dérangé le plus, c'était qu'elle avait toujours sa main avec la sienne !
« Ne te complais pas dans ta pitié, Malfoy. Si tu changes d'avis, je te verrais là bas, » et après avoir dit cela, elle lâcha sa main et se rendit hors de la chambre retrouver ses amis.
L'anniversaire de la fille
Elle quitta Poudlard, marchant rapidement pour essayer de rattraper ses amis. C'était un beau jour de septembre. Il faisait chaud et le temps était ensoleillé. Le ciel était bleu avec quelques nuages blancs le striant . Pendant qu'Hermione marchait le long de la route, elle se rendit compte de quelque chose. Demain c'était son anniversaire ! Comment pouvait-elle l'avoir oublié? Peut-être qu'elle s'achèterait un cadeau d'anniversaire ! Elle sourit. Elle savait que ses parents lui enverraient quelque chose de merveilleux. Ils le faisaient chaque année. Elle doutait que Harry ou Ron se souviennent de son anniversaire, ce qu'ils n'ont jamais fait d'ailleurs. Personne à Poudlard ne saurait que c'était son anniversaire. Sa dernière année en tant qu'adolescente, grâce au ciel.
Elle entendit des bruits de pas derrière elle. Quelqu'un courait. Elle su avant même de se retourner que ce serait lui. Malfoy l'avait juste rattraper quand elle lui dit, « Tu sais quoi, Malfoy, je viens juste de me rappeler que demain c'est mon anniversaire, ainsi je pense plutôt que c'est toi qui devrait m'offrir une bière au beurre. »
Draco eut un petit sourire satisfait et indiqua, « J'aurais dû savoir que tu allais rompre ta promesse. Bien, je te le payerai mais juste parce que c'est ton anniversaire. Nous ne voudrions pas que tu utilises tout ton argent pour moi, n'est-ce pas ? » Elle le regarda avec un petit sourire, mais il regarda rapidement la route, ainsi elle ne pouvait pas voir son expression.
« Alors, la fille qui fête son anniversaire, quelle âge avez-vous ? » demanda-t-il
« Je vais avoir dix-neuf ans. Je vieillis. Je suis littéralement une vieille femme maintenant, » grimaça-t-elle.
« Tu es plus vieilles que moi. Je viens juste d'avoir 18 ans en juin, » lui annonça-t-il.
« Oui, j'ai toujours été l'une des plus vieille de la classe. J'ai l'habitude, » admit-elle.
«Qu'est-ce que tu fais d'habitude pour ton anniversaire? » demanda-t-il tandis qu'ils marchaient le long de la route.
« Et bien, depuis que je viens à Poudlard, pas grand chose. Mes parents m'envoient toujours un merveilleux cadeau d'anniversaire. Ron et Harry ne se rappellent jamais de mon anniversaire, mais ce n'est pas si grave, » dit-elle, avec une pointe de mélancolie dans la voix.
Draco pensa que c'était vraiment nul que ces propres meilleurs amis ne se rappellent même pas de son anniversaire. Tout le monde devrait avoir ou moins une personne qui lui souhaite un bon anniversaire. Une carte et un cadeau de vos parents c'est très bien, mais un anniversaire heureux était beaucoup plus significatif. Par conséquent, Draco lui indiqua, «Très bien, alors au cas où personne ne te le souhaiterai, puis-je te souhaiter un heureux anniversaire, un jour en avance? »
« Merci, » dit-elle, « Quand est-ce que c'est ton anniversaire pour que je puisse te rendre la pareille?. »
« C'est pas avant un moment, comme je le disais c'est pas avant juin.» dit-il.
« Très bien, alors en juin, je te souhaiterai un joyeux anniversaire, » promit-elle.
« Je voudrais bien te croire mais comme tu m'avais déjà promis une bierre au beurre aujourd'hui, je ne sais pas quoi en penser. » lui dit-il avec un petit sourire accroché aux lèvres.
Le reste de la promenade se passa en silence. Hermione n'aimait pas devoir toujours parler aux gens, les amuser. Parfois, si vous n'avez rien à dire, il vaut mieux se taire. Malfoy trouva le silence très accueillant. Il avait supporté des railleries toute la semaine d'étudiants de chacune des quatre maisons. Même quelques uns des huitième d'année avaient fait quelques remarques sinistre. Il avait cherché la solitude de sa chambre à plus d'une occasion cette semaine passée. Si il aurait pu avoir tous ses repas dans sa chambre, ça aurait été beaucoup mieux.
Il avait reçu un hibou de sa mère la veille. Elle était placée dans une cellule de la prison, et les hiboux «étaient autorisés dans les deux sens ». Elle lui avait demandé comment ça se passait pour lui. Elle lui avait demandé si il s'était fait des amis. Elle voulait savoir les matières qu'il étudiait. En d'autres termes, elle était folle, et elle devait vouloir que Draco lui ne lui avait pas encore réécrit. Il ferait cela plus tard, après leur promenade. Il dit, « j'ai eu des nouvelles de ma mère hier. » Il regretta d'avoir dit ça à Hermione la minute qui suivit. Pourquoi se fiait-il à elle ?
« Oh, je ne savais pas que les lettres étaient autorisées. Je ne te demande pas comme elle va. Je suis sûr que c'est horrible d'être enfermé là-bas sans sa famille »indiqua Hermione sympathiquement.
« Oui, je suppose que ça l'est, » conjectura Draco.
« Mes parents me manque autant, mais bien sûr je ne compare en aucun cas ma situation à la tienne, » ajouta-elle rapidement. « Ils sont restés en Australie, et quoique je sois habitué à rester loin d'eux, quelques fois juste le fait de savoir que je suis loin de mes parents me rend triste. Parfois je me sens seule »
« Je ne savais pas qu'ils étaient en Australie, » admit Draco. Il réalisa qu'il ne savait en fait pas grand chose sur elle, et encore moins sur sa famille. Il ne savait même pas si elle avait des frères ou des sœurs. Les seules choses qu'il savait c'était que ses parents étaient des moldus et qu'ils étaient dentistes. Il lui demanda pourquoi ils étaient là-bas, et elle lui expliqua. Il réalisa qu'elle était vraiment plus mûre que réalisa également qu'elle faisait plus vieille que lui. Bien qu'ils n'avaient que 9 mois d'écart, elle semblait tellement plus mûre. Elle ressemblait à une adulte. Parfois, Draco se sentait toujours comme un enfant. Il l'admirait, et peut être même que c'était plus que de l'admiration, quelque chose qu'il ne pouvait pas encore décrire.
Ils atteignirent le prêt-au-lard, et allèrent retrouver les autres. Hermione marchait en direction de Luna et de Neville, qui ne semblaient ni étonné ni en colère que Draco soit présent. En fait, Luna offrit même à Draco une sucrerie, qu'il refusa poliment. Justin semblait légèrement mis à l'éccart depuis que Draco était là, mais il l'avait bien cherché. Le groupe passa en revue les bas-côtés du magasin de sucrerie pendant plus de 30 minutes. Hermione finit par acheter du chocolat blanc et quelques cannes à sucre. Draco acheta quelque chose, mais refusa de dire à Hermione ce que c'était. Elle le regarda comme si elle était en colère, mais Draco savait qu'elle ne le pensait pas, c'était juste pour rigoler.
Tous allèrent aux Trois balais, et s'installèrent à une table. L'endroit était presque vide. Le groupe n'avait pas l'habitude d'y aller sans la troupe d'étudiants quand ils avaient une sortie de prévue pour l'école. Draco trouva le café vide très accueillant. Il alla commander des bière au beurre, décida de les payer toutes et retourna s'assoir avec tous le monde. Il s'assit à côté d'Hermione, qui partageait un siège avec Neville. Luna et Justin étaient de l'autre côté. Draco glissa jusqu'à Hermione, essayant de ne pas la toucher. Elle se colla à Neville aussi prêt qu'elle le pouvait, mais elle constatait que sa cuisse touchait légèrement la cuisse de Draco. Elle aimait cette sensation de proximité. Son épaule et son bras se pressaient légèrement contre lui. Elle le constata avec soulagement, aussi. Deux fois elle crut qu'il pressé sa cuisse plus près de la sienne, mais c'était probablement son imagination.
Elle sentit des papillons dans son estomac, quand son pied toucha distraitement le sien. Il le déplaca rapidement, mais l'effet resta le même. Ils burent tous leurs bière au beurres, commandant une autre tournée, laquelle Malfoy paya également. Ils parlèrent de leurs études, de leurs internats ; Neville était avec le professeur Sprout en Herbologie. Luna était avec la directrice de maison, en potion , et Justin était avec le professeur Stephens en Métamorphose . Il dit que son premier choix, potions magiques , avait été volé sous son nez par Hermione, Michael et Draco. Hermione rit, sachant qu'il plaisantait, puisqu'il n'étudiait pas pour ses A.S.P.I.C.S dans ce sujet, mais Draco était beaucoup moins tendre qu'Hermione. Il avait su que Justin était un né-moldu, et il supposa que sa haine contre Draco l'avait poussé à dire ces mots. Il décida qu'il était temps de rentrer. Faire de ce rendez vous à cinq, un rendez vous à quatre. Il dit à tout le monde merci, se leva et partit.
Il descendit la ruelle, pour se diriger hors du village, quand cette fois ce fut lui qui attendit des pas qui se rapprochaient de lui. Il se retourna pour voir Hermione qui courrait pour le rattraper. Il pensa que ça aurait été marrant de la faire vraiment courir. Voir si elle essayait réellement de le suivre. Il se tourna pour lui faire face et commença à marcher pour la rejoindre.
« Pourquoi est-ce que tu cours, Granger ? » demanda-t-il tout en se dirigeant vers elle.
« C'est une belle journée pour courir, tu ne penses pas?» dit-elle, tout sourire. Elle était presque à sa hauteur, alors il se retourna et recommença à marcher dans sa direction originel. Elle courut plus rapidement, jusqu'à ce qu'elle soit à coté de lui. Il courut encore plus rapidement, ainsi il était en tête. Elle courut aussi rapidement qu'elle le pourrait, mais ne put le rattraper. Bientôt, ils s'engagèrent bien loin du village. Si quelqu'un les avait vus, ils auraient pensé qu'ils étaient un couple de lunatique. En tout cas c'est ce qu'aurait pensé Draco.
Il se retourna pour lui faire face, et vu qu'elle était juste derrière lui à environ un kilomètre, et elle marchait maintenant, avec la main sur son coté. Il cessa de courir, se pencha contre un arbre, et décida de l'attendre. Quand elle eut finalement atteint l'arbre où se tenait Draco, elle marcha près de lui sans même faire attention à Draco.
« Arrête de m'ignorer, Granger, ou sinon tu n'auras pas ton cadeau d'anniversaire, » lui dit-il.
Elle s'était arrêté, et marchait vers lui, presque comme si il était un aimant et qu'elle était attiré par lui, quoique leur polarité ait été évidente. Elle se tint devant lui et dit, «Tu ne m'as pas acheté de cadeau. J'ai été tout le temps avec toi et je ne t'ais pas vu acheter quoi que ce soit»
« Tu penses que tu sais tout, »lui dit-il, tout en dirigeant son doigt vers elle, « mais tu ne sais rien, petite. Si tu t'en rappel, j'ai acheté quelque chose dans le magasin de sucrerie que tu n'as pas vu. »
«Très bien Mr 'J'ai acheté un cadeau à Hermione ' Donne-moi mon cadeau ! » dis elle tout en lui présentant sa main.
« Je n'aime pas trop ton attitude, » dit-il avec condescendance.
« Et je ne pense pas que tu m'ai acheté de cadeau, » énonçât-elle.
Il ne lui avait pas acheté de cadeau. Il s'était acheté du chocolat, qu'il n'avait pas voulu qu'elle voit, parce qu'il pensait que acheter des sucreries devant elle serait vraiment minable. Il souhaitait lui avoir acheté quelque chose, mais il ne l'avait pas fait. Il se retourna à nouveau pour marcher vers le château et dit, « Tu ne sauras jamais maintenant. Ton manque de confiance en moi m'a mis dans l'incapacité de te le donner. Je ne suis pas d'une nature donnant, et c'est de ta faute. » il se retourna et dit, «Tu m'as blessé au plus profond de mon cœur. »
Elle commença à rire, et ne pouvait plus s'arrêter. Il avait un de ces caractère parfois. Elle dû arrêter de marcher, parce qu'elle riait trop.
Draco observa la sorcière rire de lui, et décida qu'il préférait mieux une Granger riant qu'une Granger pleurant. « Joyeux anniversaire, » lui dit-il.
«Quoi ? » réussit-elle à articuler derrière ses rires.
« Je t'ai fait le rire. C'est mon cadeau, » dit-il. Il inventa ça rapidement et décida que c'était tout de même une bonne pirouette.
« Merci, Malfoy, » dit-elle rigolant toujours et marchant maintenant près de lui, « C'est la chose la plus gentille que j'ai eu jusqu'ici' ici, en même temps c'est la seule chose que j'ai eu juste qu'ici, mais toujours est-il que c'est vraiment gentil. Maintenant je sais ce que je vais t'offrir pour ton anniversaire »
Il l'observa marcher légèrement devant lui et sourit. Elle lui avait déjà donné un cadeau, elle avait ri, et ce n'était même pas encore son anniversaire.
Torture fine :
Le lendemain matin, Hermione se réveilla tôt pour aller à la volière. Elle savait que ses parents lui auraient envoyé un paquet pour son anniversaire, qu'elle voulait aller chercher. Elle marchait vers le haut des escaliers quand elle vit Draco se reposer à l'étage supérieure, avec les bras derrières la tête.
« Malfoy ? Qu'est-ce qui ne va pas ? » demandât-elle, montant vite, à quelques marches de lui.
Il leva la tête, et elle aurait juré qu'il avait pleuré. Il se releva rapidement et la poussa, pratiquement en courant vers le bas des escaliers raides. Elle le rattrapa et lui toucha le bras.
« CESSE DE ME TOUCHER ! » beuglât-il.
« Je suis désolé, » lui dit elle et elle le pensait. Il ne voulait pas qu'une né moldu le touche. Elle dit. « Je me demandais juste ce qui n'allait pas. Je suis désolé. Je ne te toucherai plus. Je comprends que tu ne veuilles pas que quelqu'un comme moi te touches. Je te fais mes excuses. Je ne te toucherai plus jamais. » Elle se retourna et remonta l'escalier. Elle était si embarrassée. Elle espérait qu'il soit déjà loin quand elle redescendrait. Malheureusement pour elle, il s'assit sur l'escalier inférieure, et décida de l'attendre.
Elle ouvrit le paquet de ses parents alors qu'elle était encore dans la volière. Après qu'elle ait examiné chaque petit objet de son paquet, elle commença à descendre l'escalier, son cadeau dans les mains. Elle ne s'était pas attendue à ce qu'il soit toujours là. Devait-elle s'arrêter ou marcher à coté de lui comme si elle ne le voyait pas? Elle décida d'attendre et de le laisser décider de la prochaine étape. Elle marcha après lui lentement, et pendant qu'elle marchait deux escaliers au-dessous de lui, il s'arrêta et toucha son bras. Elle regarda sa main posé sur son bras, et dit, « Si je ne peux pas te toucher, alors tu ne peux pas me toucher. Ça ne peut être que dans un seul sens. » Il laissa tomber sa main. Il s'assit sur la marche juste derrière lui. Elle s'assit sur l'escalier juste à côté de lui.
« J'ai écrit à ma mère une lettre, et j'allais l'envoyer aujourd'hui, mais je ne peux pas, » énonca-t-il.
« Pourquoi ne peux-tu pas envoyer cette lettre ? » demanda-t-elle.
« Parce que, c'est un mensonge ! » cria-t-il, se relevant subitement. « Tout ce que j'ai écrit n'est que mensonge! Je lui ai dit que j'étais heureux ! Je lui ai dit que tout allait très bien ! Je lui ai dit que je parler avec tout le monde. Je lui ai dit que ce qu'elle voulait entendre. Je veux lui épargner la vérité Elle souffre déjà assez. » Il tint sa tête entre ses mains, et alors continua, « je lui dois beaucoup, mais je ne veux pas lui mentir. Je ne sais pas quoi faire. » Il était vraiment en conflit intérieur.
Hermione se redressa et dit, « Peut-être qu'elle te protégeait toute ces années, et qu'il est temps que ce soit à toi de la protéger. Je pense que tu devrais envoyer cette lettre. Libère-la d'un poids de ses épaules. Tu as raison, elle souffre assez. Laisse-la penser que son fils se porte bien. Envois la lettre. »
Elle avait raison, naturellement. Il savait qu'elle avait raison. Il regarda la lettre et dit alors, « Lis-la d'abord, pour voir si ça sonne bien, que ce ne soit pas seulement un ramassis de conneries. »
Elle inclina la tête et il lui remit la lettre. Elle la lut rapidement et le lui remis. « C'est une lettre très gentille. Je trouve qu'elle est très crédible, » dit-elle. La vérité c'était que la lettre lui avait brisé le cœur. Il avait écrit qu'il se faisait des amis, qu'il s'amusait, qu'il étudiant durement. Il avait raison, ce n'était qu'un ramassis de mensonges.
Il remonta vers le haut des escaliers pour envoyer sa lettre. Il jeta un coup d'œil en arrière vers elle quand il a atteint le haut et elle dit, « Je t'attends ici, ok ? » Il ne pensait pas à ça, mais il inclina la tête et disparut de sa vue.
Hermione se sentit horriblement mal pour le garçon qui lui avait causé tant de misères toutes ces années. Quand tout avait été terminé, il c'était révélé être une personne, comme eux, avec des sentiments et des émotions. Si vous le coupiez, il saignait, juste comme le reste du monde. Elle appréciait cela, et peut-être qu'il avait finalement appris à l'apprécier aussi bien.
Il envoya le hibou et revenu en bas de l'escalier. « Écoute, tout à l'heure, je pense que tu as mal compris. Je n'ai pas été dérangé parce que tu étais une né moldue, je te le jure. Je n'ai seulement pas été habitué à de telle marques d'affections et de touché de main. Je suis désolé d'avoir réagit comme ça. » Il devait avoir soudainement trouvé ses chaussures intéressantes parce qu'il les regardait fixement. Hermione agita sa main sous son nez et il releva les yeux.
« Malfoy, c'est bon, je vais vraiment m'abstenir de te toucher. J'ai juste l'habitude de le faire avec Harry et Ron, nous nous touchons souvent, nous nous tenons la main, nous nous étreignons. Je sais que nous deux, nous ne sommes pas de cette sorte d'amis, pas encore en tout cas, ainsi, je respecterai tes souhaits. »
Il voulait lui dire, `Je veux que tu me touches ! 'mais il ne le fit pas. Il avait toujours était jaloux de la façon dont Potter la touchait, lui tenait la main, ou l'étreignait. Il ne savait juste pas comment lui dire sans parraitre pour un imbécile profond. Il sourit quand il pensa à la façon dont elle avait dit qu'ils n'étaient pas des amis 'enfin pas encore'. Cela signifiait que peut-être un jour ils seraient des amis, qui se touchaient, qui se tiendraient la main, qui s'étreindraient, et peut-être plus.
Ils marchèrent vers la sortie de la volière et Hermione demanda, « Qu'est-ce que tu as prévu pour le reste de la journée ? »
Il n'avait rien de prévu. Il irait probablement dans sa chambre, étudier pendant un moment, et alors il s'ennuierait pendant le reste de la journée. Il dit, « j'allais étudier. Notre devoir de runes anciennes me donne un peu de fil à retordre. » Il ne mentait pas à propos de ça.
« Peut-être que nous pourrions nous réunir dans la bibliothèque et étudier ensemble, » proposa-t-elle. Quand il ne dit rien, et quand il ne la regarda plus dans les yeux plus d'une seconde, elle compris qu'il était encore trop tôt pour ce type de chose. Elle décida qu'elle lui donnerait une opportunité pour refuser, ainsi elle lui dit, « En y repensant, tu préfères peut être travailler tout seul, je te verrais plus tard, peut-être au déjeuner. » Elle commença alors à se diriger dans la direction opposée.
Il lui hurla alors, « Granger ! Je parie que tu as besoin d'aide en Arithmancie! Si tu m'aides en runes antiques, je t'aiderais, qu'est-ce que t'en dis ? » Elle revenue à nouveau près de lui, et sourit, tout en se mordant la lèvre inférieure. Il était si transparent.
« Comme tu veux, on se voit à la bibliothèque dans une demi-heure. » Elle continua à courir dans la direction opposée. Il l'observa courir, et décida qu'il pourrait s'habituer à elle. Il ne voulait juste pas s'habituer à elle, pour ensuite qu'on la lui reprenne.
Il se dirigea vers leur dortoir, avec un ressort sous ses pieds. Il ne laisserait pas ces enfoirés le rabaisser. Il avait subit trop de torture au cours de ces deux dernières années. Il pouvait survivre à la haine, aux insultes, aux railleries, particulièrement si il avait le sourire de Granger à regarder. Il irait bien.
Oo°oO
Voilà! Alors qu'est-ce que vous en avez pensez? Moi j'aime bien ce chapitre! Et puis il y des petits signes qui montrent que leurs sentiments sont en train de changer! Et moi j'adore!mdr
Jze voulais également vous dire un grand merci pour toutes les petites review que vous m'avez postées, ça m'a fait énormément plaisir! Alors vous savez ce qui vous reste à faire... REVIEWS!lol
A+ Bisous
Drago-Hermione