auteur: Bloodykizz

aucun des persos de vampire knight ne m'appartient

attention: yaoi ,tentative de suicide , lime


Parti I : est ce que tu .....

A la fin, tu n'est plus là, le jeu de la vie est ainsi , on vit on meurt …

Toi et moi sa n'as pas été toujours une histoire d'amour loin de la même, je t'ai hai du fond du cœur et à de nombreuse reprise je l'avoue souhaiter te voir mort …

Notre rencontre été plutôt houleuse ,ton premier geste envers moi a été de me poignardé , tu étais jeune mais on voyait déjà le futur tueur , la lame de ton couteau aurait du se planter dans mon cœur pour le faire cesser de battre le temps de quelques instants mais l'instinct a été plus rapide et ce fut mon bras qui reçus ta colère .Tes yeux brillaient de haine et de rage , et pourtant tu ne me connaissait même pas , pour toi à cette instant je n'étais qu'un parfait étranger , un homme un peu plus agé que toi, attirant et souriant , une perfection ,mais toi tu as tous de suite vu derriere mon masque ,la noirceur de mon ame et ces yeux si brillant ,qui avaient su lire mon ame, je voulu qu'il soient mien pour que je puisse les détruire de mes mains car personnes ne devaient réellement savoir qui j'étais …

Tu grandis , je te vis évoluer vers la noirceur et les ténébres mais à la différence de moi tu n'y étais pas plongé cœur et ame , il leurs restés à tous deux une part d'innocence et de candeur alors que moi , je me croyais déjà perdu à l'époque mais ton comportement froid et distant arriver souvent à me faire sourire et rapidement tes airs gênés , ennuyés ou même ta haine me devinrent aussi nécessaire que l'air et pour mieux te voir refléter l'un de ces sentiment je te vola le cœur de celle que tu aimais , ton petite flocon de neige si pur et qui d'un sourire arrivé à refermer tes blessures mais qui en tombant amoureuse de moi en ouvrit d'autre dans lesquelles je m'infiltrait pour mieux les infectés et te voir souffrir …

Ce jeu du chat et de la souris entre toi et moi ne me devint plus sufisant, te faire souffir ne me contenté plus, je voulais que dans tes yeux brillent d'un autre sentiment que celui de la haine, je voulais que tes yeux brillent de la même lumieres que lorsque tendrement tu la regardais du coin de l'œil alors qu'elle avait le dos tourné ou qu'elle souriat, ce petit éclat qui disparaissait aussitôt quand tu voyais vers qui toute son attention était tourné, moi …

Je te voulais pour moi et ce par tous les moyens, je ne savais pas ce qui m'arrivait, tu m'obsédais, mes pensées étaient en permanence tourné vers toi et ton corps qu'a quelles moments j'vais entre aperçu, je voulais le posséder, le soumettre …

Depuis quelque temps maintenant, tu avais céder à l'appel de ta vrai nature mais à chaque fois que tu y cédais tu mourais en même temps que coulait le sang dans ta gorge, une part de ton ame refuser sa condition, ta haine des gens tel que moi t'empecher de t'épanouir et ta continuel soif te rendez la tache que plus dure …. Dans ta folie ,tu toucha ce qu comptait plus que ta vie , ton amour , et la voyant evanouie dans mes bras , je pus presque t'entendre supplié de mourir mais cela n'étais pas si facile , tu essaya mais elle t'arreta , tu voulu lui faire peur pour qu'elle te haïsse , qu'elle est peur de toi et te rejette mais son amitié envers toi été trop forte et elle ne parti pas , elle resta à tes cotés et cela n'apaisait pas ta peine au contraire c'était comme de l'acide qui petit à petit te ronger et pour attenuait tes souffrance tu aurait accepter n'importe quoi ,même de pactiser avec le diable , ce que tu fis ….

Ce soir là, tu vins dans le bâtiment réservé à la night class, je t'avais senti arriver, ton aura meurtrière ne passant pas inaperçu, je t'accueillis d'un regard, tu allais bientôt être sous mon control et tu le savais. Je t'ordonnai de me suivre dans ma chambre, le regard scrutant le bâtiment comme si cela avait été la première fois que tu le voyais .Tu me suivit, je te fis passé en premier referma derrière moi avant de verrouillé. Tu entendis le cliquent du verrou et te mis sur la défensif pré à riposté à la moindre attaque de ma part, je n'en fis rien, me contentant de me diriger vers mon lit et me voyant m'allongé en retirant ma chemise, je vis ton visage pâlir. Cela pouvait paraitre un geste anodin, si je n'étais pas en train de faire de même avec la tienne. A mesure que tes vêtements étaient retiré , la gène et la honte grandissait sur ton visage que je trouva magnifique et quand tu fus allongé avec pour dernier vêtement ton boxer noir ,je me pencha vers ton cou et y mordis à plusieurs reprises goutant à ton sang aussi bon que dans mon imagination , légèrement sucré , doux quand on le buvait mais une pointe de piquant une fois avalé , c'étais déroutant mais les sensations que cela m'apportaient était sans aucune mesure . Ta faim ce fit si forte à cette instant que sans aucune douceur tu me repoussas, j'en tombas durement sur le dos à même le sol mais sans même que je ne pus faire un geste je sentis tes crocs perçaient ma peau encore vierge de toute morsure et je ne pu en retenir un gémissement de douleur mais à mesure ce furent des gémissements de plaisir qui firent leur appariations. Je haletais, me tordant sous ton corps, griffant ton dos, la situation commençait a dérapé quand je sentis ta main défaire ma ceinture avant d'aussi rapidement ouvrir ma fermeture éclair et me retirer mon pantalon .Ton regard était perdu dans les limbes du plaisir que t'avait procuré mon sang et tu ne percevais déjà plus la réalité et sans aucun remord j'en profita. Je te laissai découvrir mon corps, de tes mains puis par la suite de ta bouche, laissant ta langue râpeuse tracé des arabesques sur mon corps, puis quand tu voulu allait plus loin par des gestes explicites, je t'arrêtai, je menais le jeu. Je pris mon temps pour découvrir ce corps sensuelle, en retraça du bout des doigts ou de la langue chaque courbe, écoutant religieusement chacun de tes soupirs, de tes gémissements soufflaient du bout des lèvres, ou encore tes suppliques .je voulais que ce moment dure infiniment mais l'effet du sang commençait déjà à diminuer, je le voyais à ton regard qui malgré la passion et le désir avait à certain instant cette éclat de haine que tu me dédiais. Avec précaution, je te préparai à me recevoir, quand je te sentis prêt, je te pénétra doucement pour diminuer au maximum la douleur. Quand je fus complètement en toi, je ne bougea pas, essayant de te rassurer, mais ton étroitesse, ta chaleur me rendait fou. Quand tu sembla t'être habitué ,je fis quelque mouvements en toi faisant attention à tes réactions , mes mouvement ce firent plus rapide , plus profond et bientôt tu bougea tes hanches , venant à la rencontre mon membres , me suppliant , gémissant .la torture à laquelle je m'appliquais eu raison de toi et dans un râle tu vint , je fus bientôt emporté à mon tour par le plaisir et vins en toi . Mon corps tremblant de l'orgasme foudroyant que je venais d'avoir, je me retira de toi .nous restèrent un moment enlacé, nos corps en sueurs, tu commenças à t'endormir dans mes bras et comme je sentais que j'allais moi-même le faire, je te porta et te fis glissé dans les draps frais de mon lit avant de mis glisser à mon tour après avoir réussi à remettre la main sur mon boxer. Le sommeil vint rapidement et je m'endormis ton corps serré contre le mien.

A mon réveil tu n'étais plus la, cela ne m'avais pas réellement étonné, je me mis à sourire en imaginant à ton visage ton réveil mais vite mon sourire ce fana, j'aurai voulu que tu reste avec moi … je resongea à la nuit passé et je fus comme prit d'un flash, je pris conscience d'une chose qui changea ma vie, je pouvais enfin mettre un nom sur le sentiment qui me tourmentait depuis tant d'année, j'étais bêtement tombé amoureux …

Quand je te vis ce jour là, tu me fis comprendre que ce qui étais arrivé avait été un accident et que cela ne se reproduirait jamais plus, bien sur tu ne l'avais pas dis de façon aussi gentille mais c'est le résumé que je préfère retenir, tes mots ayant réussi à briser mon cœur. Tu revint souvent ,mais comme tu l'avais dis , cela ne se reproduit plus jamais , tu restait parfois dormir dans ma chambre quand la fatigue t'avait emporté et dans ces rares moment, je t'observait , admirant ton visage , ton corps , me retenant de t'embrasser , de caresser ton visage car si je commençais ne pourrais m'arrêter , mon corps te désirant aussi fort qu'il désirait ton sang que tu me permettait malgré tout de prendre . Bientôt une sorte de routine s'installa , tu venais chaque vendredi soir dans ma chambre , tu prenais ce que tu voulais mais cette fois là , il y eu un changement , tu venais de finir de boire mon sang , je toucha du bout des doigt les deux trace qui commençait déjà disparaitre , te regardant d'un regard triste partir, tu venais d'ouvrir la porte de la chambre , je ferma les yeux , en l'entendant ce refermé puis je sentis un contact doux sur mes lèvres , j'ouvris les yeux et te vis courant vers la sortie ,les yeux écarquillés je me rendis compte que j'étais tellement concentré à faire semblant que je ne te voyais pas partir que je ne l'avais même pas senti approchait de moi mais surtout … tu venais de m'embrasser , je souris bêtement .

Notre relation s'améliora, mais ce n'était pas encore ce que j'aurai voulu, mais je m'en contentai c'était mieux que l'ignorance ou la haine, on était ami pour notre entourage mais parfois au détour d'un couloir ou lorsque tu venais dans ma chambre ou bien que je te rendais visite, on s'autorisait quelques baisers mais rien de plus mais pour moi c'était déjà ça.

La situation aurait pu rester comme sa, mais dans mon équation ,j'avais oublié l'inconnu amour , tu l'aimais encore , tu ne m'aimais pas d'amour juste d'amitié et comme tu te doutais de mon amour pour toi tu me laissait t'aimer , je pense encore maintenant que ton comportement était très égoïste , tu me laissait espéré alors que tout était déjà joué d'avance , tu l'aimais , elle m'aimait et moi personne n'y pensait , moi …..Je t'aime …

Elle t'a rejeté lorsque tu t'es déclaré, mais tu le savais déjà que cela ce passerait ainsi puisque quelques heures avant avait été annoncé officiellement mes fiançailles avec Yuki.

Tu m'en as voulu, maudit surement et tu as réussi …. Tu es venu lors du mariage, elle t'avait demandais d'être son témoin et bien sur tu as accepté, ce fut un merveilleux mariage selon les invités mais selon moi cela aurait était parfaits si celle que je prenais pour épouse était la personne que j'aimais. Je l'embrassa mes yeux fixait dans les tiens, je dansa toutes la soirée, mon regard sur toi et quand je la fis mienne, je ne pu penser qu'a toi, je m'en écœure si tu savais …

Les années passèrent , de l'adolescent rebelle tu devint un homme mature , solitaire et que je trouvait toujours aussi désirable malgré que j'étais marié et papa d'un petit garçon du nom de Tsukiyo dont tu étais le parrain .Tu venais de tant en tant à la maison surtout lors des fêtes , alors on parlait , se remémorait nos souvenirs , rigolait tous ensemble du passé mais parfois quand on était seul tous les deux ,il y avait toujours ce petit malaise ,cette gène ,alors que l'on parlait de banalité autour d'un verre .

Le jour de noël , tu arriva pour la première fois en retard , tu t'en excusa à Yuki qui venais de t'ouvrir ,je te vis entré tes cheveux argenté recouvert d'une fine couche de neige , le nez rougit par le froid , je te trouva adorable puis j'entendis d'autre pas et je vis un autre homme entrée , il ne me disait rien . J'alla vous salué et l'inconnu se présenta comme étant Takea Kiryu, quand j'entendis le nom de famille je cru mal entendre et vu le regard de Yuki je n'étais pas le seul. Zero, tu te mis à rougir comme je ne t'avait plus vu le faire depuis quelques années et tu nous fis savoir que tu nous expliquerai un peu plus tard. Au dessert, je vis sa main venir dans la tienne, j'eu un sentiment qui me tordis les entrailles et après quelque seconde tu nous avouas ce que je soupçonner mais que j'espérais imaginer. L'homme à coté de toi était aussi celui avec qui tu partageais ta vie, le mariage entre homme n'étant pas autoriser, vous aviez procéder à une demande d'adoption, cela pouvait dans un sens ressemblé à un contrat de mariage. Notre silence te mis mal a l'aise, tu attendais notre réaction et vu le regard qu'il te lançait vous vous étiez préparé à toute les éventualités. Yuki s'avança vers toi et te gifla, puis en pleure te pris dans ces bras en te traitant d'idiot pour ne pas l'avoir prévenu que tu allais te marié. Tu fus aussi choqué que moi que la seul chose qui la vexa fut que tu ne lui annonce pas ton « mariage » mais elle te confia qu'elle se doutait depuis de nombreuse années de ta préférence et elle ajouta en rigolant qu'elle avait cru un moment que tu étais tombé amoureux de moi à l'époque vues les regards que tu me lançais ….Il y eu un silence puis tu te mis à rire, de ton rire cristallin et ton regard ce planta dans le mien. Tu riais, de moi ?, de l'ironie de la situation ?

Ah….. Je suis fatigué, fatigué de tout, je laisse l'air joué avec mes cheveux, admirant le ciel si sombre empli d'étoile. Je passe une main dans mes cheveux et surpris je sens des larmes coulé sur mes joues, du bout des doigts, j'en attrape une et la porte à mes lèvres, elle a le gout amère d'un cœur brisé.

J'attrape ton Bloody rose que j'avais mis dans mon manteau après te l'avoir volé, je le regarde, des souvenirs de toi l'utilisant affluant. Les yeux ouverts en fixent l'horizon je réfléchis, tu dois être avec Yuki et ton amant bavardant comme quand je vous ai laissé alors que tu étais encore en train de rigoler …

Ton si beau rire, tu es si beau lorsque tu ris…. Ton visage en tète je presse alors sur la gâchette …

Je t'aime …..Zero

Le jeu va bientôt se terminer, mon regard commence déjà à ce voilé mais je ne vais pas encore mourir tous de suite, j'ouvre les yeux et je vois un ange :

« Je suis au paradis ? »Demandais-je en touchant le visage penchait au dessus du mien.

« Toi allé au paradis ?! Nan mais tu rêve Kuran, pour toi sa sera plutôt l'enfer surtout si tu meurs maintenant ! »Dit la voix d'un ton sévère

« Zero…. »Soufflais-je

Je sens du sang, ce sang que j'aime tant, doux, sucrer et pétillant, mon instinct me pousse à mordre dans ce cou pale mais si je le fais, je survivrais mais j'ai si faim d'un coup ….

Je sens le liquide carmin coulait dans ma bouche, la chaleur me revient, tous comme mes forces, une main me repousse et m'éloigne alors que bout de langue j'essaye de trouver quelques gouttes qui seraient restées sur mes lèvres.

Je vois Zero entouré par Tsukiyo alors que Yuki vient vers moi paniqué me demandant pourquoi j'ai agi ainsi, je ne réponds rien, il aurait trop de chose a expliqué, perdu je croise ton regard alors que Yuki me prend dans ces bras comme tu l'es toi même et sans que j'ai à dire un mot, tu as compris.

Zero … tel le fruit défendu, tu es aussi proche qu'inaccessible, t'avoir signifie détruire tous ce qui a été construit et sera construit …

Et pourtant …..


Fin ? a prochaine ^^ Kizz