Disclamer: Rien n'est à moi, tout est à J.K. Rowling
Alors voici une petite Dray/Mione. Le premier chapitre est plutôt osé, en espérant que ça ne choque personne. J'espère que vous aimerez! :)
Ses mains glissaient sur mon pied. Elles le caressaient, m'envoyant des décharges de plaisir dans tout le corps. C'était un peu étrange. Cette partie de mon corps que j'haïssais tant, que je trouvais si laid, entre ses doigts agiles me faisait ressentir une impatience sexuelle inouïe. Il allait sans dire que l'homme à mes côtés était un dieu du sexe. Avec de plus en plus de lenteur, mon bel apollon laissa remonter ses doigts sur ma peau, me donnant des frissons de plus en plus poussés. Coquin, il laissa son doigt s'aventurer entre mes deux fesses avant de suivre le long de ma colonne vertébrale. Alors qu'un gémissement allait franchir la commissure de mes lèvres, il empoigna ma tignasse et rapprocha nos deux têtes de façon à ce que nos bouches se soudent l'une à l'autre. Ses lèvres étaient un peu rugueuses et le baiser avait des airs d'interdit.
Hum... Moi, Hermione Granger, je pouvais jurer n'avoir jamais connu meilleur partenaire. Il était quand même dommage que j'ignore de quoi il avait l'air. Et son nom bien sûr. Ah, il ne fallait pas s'en faire. Je n'y voyais peut-être rien, mais je savais au moins que je n'étais pas sur le point de m'adonner à un luxurieux plaisir avec un petit gros boutonneux! Si ses mains à lui parcouraient en ce moment librement mon corps, les miennes en avaient faites de même un peu plus tôt. J'ignorais la couleur de ses yeux ou de ses cheveux, mais je savais qu'il était grand et que ses fins cheveux lui arrivaient aux épaules. Mes mains avaient effleuré son corps musclé, ses abdominaux bien développés, ses épaules carrées.
Mon dos heurta assez violemment le mur, mes mains se raccrochèrent à son cou, pendant que les siennes se posaient sur mes fesses. Le message était clair, je me soulevai et enroulai mes jambes autour de sa taille. Il était grand, plus grand que moi du moins, et il était fort. Hum... Il semblait vraiment parfait! Il se rapprocha encore de moi, réduisant l'espace entre nous deux à néant, ainsi que celle entre le mur et moi. J'étais coincée, il n'y avait aucun doute!
De l'autre côté de la porte, la musique jouait encore et parvenait subtilement à nous. Je devais reprendre mon souffle. Je décollai ma bouche, sans pouvoir m'éloigner plus tellement il nous avait lié l'un contre l'autre. C'était une de mes chanson préférée qui passait. Elle allait tellement bien avec ce que nous vivions tous les deux en ce moment. Je savais que j'avais une voix assez agréable à entendre et sensuelle de désir contenue aussi, alors, au lieu de me jeter une nouvelle fois sur ses lèvres si attirantes, je me penchai vers son oreille pour lui chanter les paroles qui jouaient.
Explore, implore, dévore mon corps
J'adore quand tu
Abuses de moi
Quitte à choquer ceux qui voudraient
Mais qui n'osent pas
Quand mes lèvres retournèrent vers les siennes, je pus sentir son sourire malicieux. Alors que celles-ci repartaient dans une danse endiablée, mon bel inconnu nous transporta dans la pièce, tentant de trouver le lit, ce qui lui prit tout de même un certain temps. Une fois fait, il m'y coucha, embarquant au-dessus de moi. Je sentais, collé contre moi, son membre bien dur. À cette prise de conscience, mon bassin répondit en se cambrant vers lui. Nous avions assez joué tous les deux et nous le savions très bien. Pourtant, pleins d'idées plus coquines les unes que les autres me passaient par la tête et j'avais envie de les mettre à profit tout de suite. Dilemme. Mais nous n'avions pas vraiment de prise là-dessus. Après, il serait toujours temps. Nous avions la nuit entière, alors pourquoi pas?!
Rassérénée par ce fait, je resserrai ma prise sur son cou, intensifiant notre baiser et nos contacts. C'était à lui maintenant de mener le bal. D'un mouvement souple des anches, il me pénétra, juste au moment où je tentais de reprendre mon souffle. Un cri, le premier, traversa mes lèvres boursouflées d'envie. Il n'y avait pas de doute, ce que nous étions entrain de faire était à la limite du bestial. Intense et grisant. Nous étions loin de faire l'amour. Nous baisions. Ce n'était pas ce doux sentiment qu'est l'amour qui parcourait notre corps, qui rythmait nos actes, mais bien le désir, l'envie, le sexe à l'état pur, qui nous électrifiait. Il accélérait et allait plus fort, pour que nous le ressentions encore plus, dans chaque parcelle de notre être, le plaisir. Hum... Et c'était bon! Dans un dernier coup de rein, nous atteignîmes le septième ciel ensemble. Le souffle court et haletant, nos corps tremblant de l'énergie fournie. C'était exquis! Doucement, mon apollon se laissa glisser à mes côtés.
Certaines personnes s'endorment après avoir couché avec quelqu'un. Dans mon cas, c'était chose impossible. Mes sens étaient encore à l'affut, encore bien éveillés. Mais j'ignorais comment lui agissait après la baise. En silence, j'attendis, écoutant son souffle. S'il devenait lent et régulier, je devrais me résigner à dormir. Dans tous les cas, c'était ce qui risquait d'arriver. Presque tous les hommes que j'avais côtoyé (c'était peut-être un grand mot) tombaient raide mort après. Quoi? Moi, trop exigeante?! Mais non! Ils étaient seulement trop faible...
Pendant que je patientais, silencieusement, une drôle de pensée prit forme dans mon esprit. Et si Ron et Harry apprenaient cela? J'eus envie d'éclater de rire. C'était tout simplement impensable qu'ils puissent imaginer ce que j'étais, ce que je faisais. Cela me convenait. L'été m'appartenait, c'était mon jardin secret. Ce n'avait pas toujours été le cas. Bien sûr, en entrant à Poudlard, j'avais complètement changé. Seule dans un monde qui m'était étranger, je m'étais forgé une carapace. J'avais appris à diviser ma vie de moldue de ma vie de sorcière. Au départ, ce n'était que quelques amitiés que j'avais caché et mon caractère extraverti que j'avais refoulé, mais depuis l'été entre ma cinquième et ma sixième année, les choses avaient radicalement changées.
Mon corps de pré-pubère avait fondu sous le soleil de juillet, pour laisser apparaître des formes bien féminines. Bien sûr, les formes ne venaient jamais sans les hormones. Ces dernières, j'avais tenté de les refouler durant ma cinquième année. Les traîtresses, qui faisaient battre mon cœur et rougir mes joues dès que Ronald posait ses yeux sur moi. Avec mes amies, chez moi, j'avais appris à vivre avec mon nouveau corps et mes nouvelles pulsions. Nous avions passé l'été sur la plage, à se faire bronzer et à observer la gente masculine.
Nous étions quatre jeunes femmes, qui rêvions d'amour, de passion, de découverte. La plage était le meilleur endroit pour observer. Il y avait les couples plus vieux, qui s'embrassaient à pleine bouche sur le sable, les groupes d'adultes qui buvaient de l'alcool à toute heure du jour et de la nuit, ainsi que plusieurs spécimens masculins en maillot. Un vrai régal pour les yeux.
C'est là que j'avais rencontré le garçon qui me changerait. Il était charmant, poli et, surtout, célibataire. C'était un grand brun aux yeux pétillants de vie et au corps musclé par la natation qu'il pratiquait depuis sa tendre enfance. Comme moi, il passait ses journées à la plage et avait un corps bien bronzé. Il avait dix-sept ans, il était doux et respectueux. C'était l'homme parfait. Mes amies m'avaient encouragé à aller vers lui dès qu'elles avaient remarqué ses regards intéressés dirigés vers moi. Et cela avait fonctionné. J'étais tombée amoureuse de lui et lui de moi. Rapidement, nous avions formé un joli couple.
C'est avec lui que j'ai perdu ma virginité, à la fin de l'été, quand nous savions l'échéance de notre couple proche. Pourquoi? Pourquoi moi, Hermione Granger, fille mature et un peu fleur bleu sur les bords avait-elle décidé de donner sa première fois à un garçon avec qui elle n'était que depuis deux mois et qu'elle quitterait dans une semaine tout au plus? Parce que j'en avais eu envie. Mais surtout, parce que je ne savais que trop bien qu'une fois à Poudlard, avec Harry et Ron, avec ma réputation d'introvertie, de rat de bibliothèque, je ne trouverais pas chaussure à son pied. Parce que j'étais consciente qu'alors, la prochaine chance que j'aurais serait l'été prochain, et que je retomberais dans une situation identique à celle-ci.
Pour toutes ces raisons, ma décision n'avait pas été difficile à prendre. L'expérience avait été assez réussie. Il était doux et attentionné. Nous l'avions refait autant que nous avions pu dans ce qui nous restait de semaine, et j'en avais gardé un beau et bon souvenir. Je crois que lui aussi. Une fois à l'école, comme je l'avais supposé, l'amour avait déserté ma vie. Oh, bien sûr, il y avait Ron. J'aurais menti si j'avais dit que je lui étais complètement indifférente. Mais il était si timide, si peu entreprenant, que l'année avait passée et que nous étions toujours au stade de l'amitié.
Quand l'été était enfin arrivé, j'étais épuisée de me retenir, d'être cette Hermione sage et introvertie que les étudiants de Poudlard voyaient en moi. J'avais envie de m'amuser, envie de goûter à nouveau aux plaisirs de la luxure. Je ressentais le besoin de m'évader, de laisser la lionne sortir. Je savais que je pouvais le faire en toute sécurité chez moi, avec mes vieilles amies qui connaissaient ma personnalité de feu. Dans mon petit groupe de filles, nous étions deux sorcières, et les deux autres connaissaient notre don. Seulement, mon amie sorcière n'allait pas à Poudlard. Si cela avait été le cas, je n'aurais sûrement pas été la même! Elle-même était une vraie petite boule d'énergie, toujours prête à faire la fête. Tout au long de l'été, nous avions rattrapé le temps perdu. Il n'était plus question d'aller à la recherche d'un amour éphémère. J'avais beaucoup aimé mon expérience, l'été auparavant, mais j'avais aussi été très triste quand nous avions du nous quitter. Je ne voulais pas souffrir à nouveau. C'est pourquoi j'étais allée dans des fêtes, pour y découvrir un autre aspect de la sexualité : les coups d'un soir. Ce n'était pas toujours valorisant, mais c'était si excitant.
Puis, il y avait eu cette idée qui avait germée dans la tête de ma bonne amie sorcière. Elle connaissait un bar pour les plus de quinze ans qui était des plus étranges. Comment un bar pouvait-il être étrange? Le propriétaire avait eu l'idée la plus ridicule, mais en même temps, la plus révolutionnaire. Un jour, il s'était dit: la vision en moins, quand il est question de sexe, c'est beaucoup plus excitant. Alors, pourquoi pas dans tout? Nos autres sens seraient amenés à être plus stimulé. Vous voyez où cela le mena? Non? C'est pourtant simple! À ouvrir un bar, à l'aide de la magie, où les gens étaient privés de leur vision. Kamikaze s'y rendre? Sûrement oui.
Malheureusement pour moi, mon amie, Alicia de son petit nom, s'était convaincu que nous devions y aller. Ce que j'avais refusé avec aplomb. Aplomb dises-je? Les premiers jours oui, les premières semaines, mais plus le temps avait passé et moins je m'y étais opposée. Je m'étais découvert, au fil de l'été, une soif insatiable de plaisir, de nouveautés. Je voulais plus, encore plus, de façon maladive, comme si je voulais balancer mon inactivité et ma timidité en milieu scolaire.
Un matin de fin d'été, j'étais entrée en douce chez Alicia. Quand on sortait, il arrivait quelque fois que j'aille dormir chez un gars. C'est pourquoi je disais toujours à mes parents que je dormais chez Alicia. Mes parents connaissaient mon caractère de feu, tout comme mon côté studieux, mais je ne tenais pas à les informer de mes agissements sexuels. La sexualité de leur fille ne les concernait pas. Ce matin là donc, la soirée avait été arrosée, l'homme avec qui j'avais passé la nuit avait été décevant, et le mal de tête me prenait. Découragée, je lui avais dit que j'étais partante pour essayer la boîte de nuit des aveugles.
Ma bonne amie n'avait pas attendu plus longtemps, deux jours plus tard, nous étions devant les body guards, avec nos cartes et nos baguettes, attendant notre tour pour entrer. Il fallait être fou pour aller là, c'est ce que j'avais répété tout l'été à Alicia. Pourtant, nous nous tenions toutes les deux à la porte de ce bar. Un regard sur nos cartes, un petit sort sur nous, puis sur nos baguettes (pour qu'on ne puisse pas annuler le sort. Imaginez des pervers qui retireraient le sort et en profiteraient pour violer les pauvres femmes aveugles. Bien sûr, il y avait des surveillants qui voyaient, pour s'assurer qu'il n'y ait pas de problème, mais tout de même.) et nous entrions, main dans la main, un trou noir devant nous. Pas rassurant du tout!
Pendant quoi, dix minutes maximum, Alicia et moi étions restés ensemble, main dans la main, avant d'être séparées par la foule. J'avais angoissé, puis je m'étais résignée et je m'étais laissée entraîner par la foule. J'étais rentrée dans beaucoup de corps et m'était fait rentrer dedans par plusieurs autres. Je ne pouvais pas dire jusque là que l'expérience avait été agréable. Ce n'est qu'au moment où mon corps avait frôlé celui d'un inconnu, où mes mains étaient parties à l'exploration tandis que les siennes faisaient de même, où nos corps s'étaient appréciés et s'étaient mis à onduler de concert que j'avais apprécié la soirée. Il y avait des chambres, on en avait été informé. Se trouver une chambre était plutôt un passage obligé, puisque le sort ne s'évaporait qu'au matin. Il était fortement conseillé de rester dormir là.
Forts de cette connaissance, nous avions cherché une chambre de libre. Quand j'avais compris les intentions de mon partenaire, sa main fortement enroulée autour de ma taille pour me guider, j'avais craint que nous nous perdions ou que trouver une chambre prenne des heures. Pourtant, tout avait été rapide. J'en avais déduis que cet homme était un habitué de l'endroit.
Je soupirai, me remémorant les récents événements dans ma tête. Cela faisait bien dix minutes que je cogitais dans le lit. Je pris le temps d'écouter la respiration de l'homme à mes côtés, dans l'espoir un peu vain qu'il ne soit pas déjà endormi. Et, miracle, il semblait bien éveillé. Je n'attendis pas plus longtemps, je basculai au-dessus de lui, à califourchon plus exactement. Il se releva, se mettant en position assise et lia nos bouches ensemble, laissant ses mains repartirent à l'assaut de mon corps, me redonnant instantanément des frissons partout en moi. Mon rythme cardiaque s'accéléra. Il devenait de plus en plus entreprenant, sa bouche avait quitté la mienne pour parcourir mon cou, et elle descendait maintenant jusqu'à mes seins, titillant mes mamelons. Ça me plaisait affreusement, mais c'était à mon tour de jouer, c'était ce que j'avais décidé. Je posai mes mains sur ses épaules et appuyai fortement pour le recoucher. Il dut me lâcher. Je savais qu'il me fixait, sûrement avec un petit sourire entendu. Les hommes, j'avais fini par les connaître.
Je pris ses mains et élevai ses bras au-dessus de sa tête, lui indiquant que l'utilisation de ses mains était interdite. De mes lèvres et ma langue uniquement, je m'attaquai à son corps, le léchant, le titillant. C'était la première fois que j'étais aussi osée dans mes ébats sexuels, mais je ne savais pourquoi, je me sentais à l'aise avec cet homme dont j'ignorais jusqu'à l'apparence et le nom. En fait, j'ignorais tout de lui. Mais, et c'était très étrange, j'avais l'impression que tout cela était écrit, comme si nous étions destiné à nous rencontrer dans cette situation, à ce que cela arrive, et encore plus, j'avais l'impression de le connaître. Peut-être devenais-je folle? Alors c'était une belle folie.
Je descendais de plus en plus, jusqu'à arriver devant. Je savais ce que je voulais faire. Et lui aussi. C'était une des multiples idées qui m'avaient traversée l'esprit avant qu'on ne couche ensemble. Pourtant, je ne l'avais jamais fait. Je ne me sentais pas inquiète, ce qui était étonnant de ma part. Dans tout, j'avais peur de ne pas être à la hauteur. C'était un de mes problèmes. Ah non, pas dans tout. Quand c'était pour insulter Malefoy, tout était clair dans ma tête. Pourquoi est-ce que je devais penser à lui dans un moment pareil?
Continuons donc. Une fois devant, je relâchai doucement mon souffle, histoire de caresser son membre sans contact. De me donner une idée d'où il était exactement aussi, et s'il était bandé bien évidemment. Délicatement, je posai ma bouche sur son gland et je pus ressentir un frisson lui passer dans tout son corps. J'en fus fière. Je laissai alors ma langue glisser le long de son sexe, lentement. Je me faisais aguichante. Au fur et à mesure, son membre déjà dur grossissait. Puis, j'arrêtai ce petit jeu, sachant que je ne pouvais pas trop lui en demander, il avait beau être un dieu du sexe, il avait ses limites! Je pris son pénis dans ma bouche, imposant un rythme des plus lent. Il grogna de mécontentement, alors j'accélérai. Je n'avais commencé que depuis quelques secondes qu'une des mains de l'inconnu se posait dans mes cheveux, tandis que son autre main serrait avec force le drap. Ce fait m'encouragea, j'augmentai mes mouvements de va et vient. Au bout d'un moment, il éjacula dans ma bouche. J'avalai sans vraiment en prendre conscience.
Mon audace me surprenait moi-même. Je ne m'en serais jamais cru capable! Mais je n'eus pas le temps d'y réfléchir plus amplement. Mon homme me renversa et repris le chemin des opérations. Mes bras se retrouvèrent au-dessus de ma tête, comme j'en avais fait avec lui. Il reproduisait les mêmes gestes que j'avais eus. Sauf qu'il s'arrêta plus longtemps sur ma poitrine, la malaxant de sa bouche et de sa langue. Pour descendre vers mon entrée. C'était... Chaud. Nouveau. C'était vraiment la soirée des nouveautés! J'étais surprise et tellement excitée! Tout cela sans rien voir. Sa langue qui me caressait, qui entrait en moi, qui jouait avec mon clitoris, longtemps. Cette langue qui réussit à me donner un orgasme. Des plus chaud.
Toute la nuit, nous jouâmes ainsi, avant de s'endormir au petit matin, plus qu'épuisés. Il y avait ses bras qui m'encerclaient, son odeur qui me berçait et son cœur qui battait à l'unisson avec le mien, puis moi, en petite boule contre lui qui respirait de plus en plus lentement. Pour la première fois de ma vie, je me laissai gagner par le sommeil, même si j'étais au côté d'un inconnu. Les bras de Morphée m'accueillirent, m'entraînèrent vers une nuit paisible.
Alors? Il se pourrait que j'ai fait quelques fautes, s'il y quelqu'un d'intéressé à être ma beta, dites-le moi!
La chanson est de Sophia Essaidi, le titre est Abuse de moi.