Bonjour! Désolée pour le délai. Il se peut qu'il y ait quelques fautes dans ce chapitre, je n'ai fait qu'une correction rapide, car je tenais à enfin publier un chapitre. Merci pour les reviews, j'espère que la suite vous plaira :)


Étrangement, mes parents n'avaient pas été surpris d'apprendre que je ne retournais pas aux études en septembre. Je m'étais attendue à des cris et à des réprimandes, mais rien. Ils m'avaient avoué s'en douter et s'être déjà fait à l'idée. Mon mutisme concernant mes futures études, ainsi que ma décision de travailler durant l'été leur avait mis la puce à l'oreille. Une fois mon secret dévoilé et bien pris, j'avais senti un poids se soulever de mes épaules.

Aujourd'hui pourtant, le poids était dans ma poitrine. Mes amis venaient de débuter les cours. Ça avait d'abord commencé avec le départ de Ginny. On était tous allé lui dire au revoir sur le quai, avec la tenace impression que notre place était dans le train avec elle. Par la suite, Ron avait définitivement élu domicile avec les autres recrues de Quidditch et Harry avait quitté ma maison pour emménager au 12 Square Grimmauld. Finalement, les cours avaient commencé, ne laissant plus de temps libre à Harry, Blaise, Drago et Alicia. Du côté de mes amis moldus, les études avaient aussi pris tout leur temps. Quant à moi, il ne m'était resté que quelques jours de travail avant le grand départ.

Après plusieurs recherches et questionnement intérieur, j'avais décidé d'aller visiter l'Inde. Ce pays regroupait une grande partie de la population terrestre et existait depuis si longtemps. Sa culture était riche et ses religions variées. Il y avait Bollywood et tout l'essor que prenait cette civilisation. Voilà pourquoi j'avais arrêté mon choix sur l'Inde.

J'avais communiqué avec une agence sorcière de tourisme. Je prendrais un portoloin pour me rendre sur un chemin de fer désaffecté. Une partie du rail s'était brisée et était présentement vide, ce qui me permettrait de faire mon arrivée sans être remarquée. Mon hôte m'attendrait sur place pour m'entraîner dans cette nouvelle aventure. J'avais tenu à faire ce voyage non pas avec un groupe de touristes, mais en solitaire. On m'avait tout de même conseillé d'avoir un guide avec moi, ce que j'avais fini par accepter. Cela me coûtait plus cher, mais il était vrai que c'était beaucoup plus sécuritaire et j'étais ainsi sûre de ne pas passer à côté d'importants monuments à visiter.

En refermant ma valise, je sentis la peur me prendre au ventre. Avais-je fait le bon choix? Partir ainsi seule pendant trois longs mois, n'était-ce pas de la folie? Je me forçai à respirer calmement et à discipliner mes pensées. Il était trop tard pour reculer. Je jetai un sort sur ma valise pour n'en faire qu'un petit sac à main et je descendis les escaliers. Mes parents étaient assis dans la cuisine et m'attendaient. Un hibou m'avait emmené le matin même un paquet contenant un dé à jouer, mon portoloin. Ce dernier était posé au centre de la table, n'attendant que moi. Je pris tout de même le temps de manger une dernière fois avec ma mère et mon père, une dernière occasion pour les rassurer.

Cela ne prit qu'une minute. Je n'eus qu'à me saisir du portoloin à l'heure indiquée et j'y étais. Mon corps tournoya, j'eus la nausée, je m'affaissai par terre en arrivant, mais tout cela ne prit qu'une minute. Je me relevai tranquillement et regardai aux alentours. Un rail de chemin de fer tordu, de la terre, une petite bute qui me surplombait, donnant sur une forêt. Il faisait nuit noire, aussi devais-je plisser les yeux pour voir devant moi.

Mon hôte n'était pas encore arrivé. J'allais attendre patiemment, quand j'entendis un cri. Un cri aigu et désespéré. Il venait de la forêt. Je plissai les yeux, tentant d'apercevoir quelque chose. Je voulais venir en aide à la personne, sûrement une femme, mais je savais qu'il ne fallait pas se précipiter sans connaître la situation. À nouveau, un cri fendit l'air frais. C'était un cri de pure horreur qui me donna des frissons dans l'ensemble de mon corps. Au même moment, mes yeux, qui s'étaient habitués à la noirceur, distinguèrent plusieurs formes à l'orée des bois. Au cri succéda des supplications, ou ce que je supposais en être, dans cette langue que je connaissais encore bien mal. C'était définitivement une femme. Ses paroles entraînèrent des rires gras de la part de ses assaillants. De ce que je pouvais voir, on aurait dit trois ou quatre hommes autour du corps frêle de la pauvre femme.

Je me pétrifiai sur place quand je vis un des hommes se pencher vers la femme et déchirer ses vêtements. Avec horreur, j'entendis le bruit d'une fermeture éclair que l'on abaissait, ainsi que le son mat d'un vêtement tombant par terre. Cela suffit à réveiller ma conscience jusque là figée. Je plongeai ma main dans ma poche et saisis ma baguette. Sauf qu'une main se posa sur ma bouche, tandis qu'une autre enserrait mon poignet. Je me raidis.

-Miss. Granger? Je m'appelle Nirav. Je suis votre hôte. Je vais enlever ma main de sur votre bouche, mais promettez-moi de ne pas crier.

L'homme chuchotait à mon oreille. Au fur et à mesure qu'il parlait, je me détendis. Sa voix était calme et posée, il ne voulait pas me faire de mal. Je hochai la tête et il retira tranquillement sa main de sur ma bouche, mais il ne lâchait toujours pas mon poignet.

-Pourriez-vous lâcher mon poignet?

Ma voix était suppliante et pressante. Les cris de la femme s'étaient mutés en pleurs et en râles de désespoir. Je devais agir.

-Écoutez-moi bien. Ces hommes sont des moldus, vous ne pouvez pas intervenir magiquement, cela nous est interdit.

-Mais je dois l'aider!

J'avais murmuré, ne voulant pas me faire surprendre, mais mon ton était rageur.

-Que voudriez-vous faire? Seule contre quatre hommes, vous ne faites pas le poids. Même avec mon aide, vous n'arriveriez à rien d'autre que de partager le triste sort de cette femme.

Un poids s'abattit sur ma poitrine. J'étais impuissante. Une femme se faisait violer à quelques pas de moi et je ne pouvais rien y faire. Des larmes perlèrent au coin de mes yeux. En voyant cela, mon hôte retira sa main de mon poignet.

-Venez avant qu'ils nous voient.

Je secouai négativement la tête. Je ne pouvais pas partir. Je ne pouvais pas abandonner cette femme à son sort. Nirav soupira et se positionna dos à la bute, à la forêt, à la scène. Moi, je ne pouvais détacher mes yeux des formes mouvantes, de cette petite masse qui se faisait passer dessus par plusieurs hommes. Les larmes me brouillaient la vue, la nausée me menaçait, mes jambes voulaient se dérober sous moi, mais je ne pouvais m'arrêter. C'était ma punition.

Les gifles et les coups pleuvaient sur le corps frêle, les hommes lui tournaient autour, la pilonnait à tour de rôle. Ses pleurs emplissaient mon âme. Les individus proféraient d'haineuses paroles dont je ne déchiffrais que l'intonation à l'endroit de leur victime. La scène se répétait à l'infini, coups, pleurs, cris, haine, sexe… Horreur. Quand ils eurent terminé, ils partirent sans un regard pour la masse inanimée au sol. Ils riaient.

Je me retournai vers Nirav, qui avait bouché ses oreilles et fermé ses yeux, se balançant sur lui-même. Quand il n'y eut plus un bruit dans la forêt, je donnai un coup de coude à mon guide et je m'élançai vers la jeune fille. Elle respirait encore. Je la serrai tout contre mon corps et refusai de partir sans elle. Nirav finit par accepter, mal à l'aise. Elle était si légère que je n'eus aucun mal à la porter dans mes bras jusqu'à l'hôpital.

Rendue sur place, je suppliai Nirav de porter plainte pour elle, pour moi qui ne parlais pas Hindi. Il n'en fit rien, m'expliquant qu'il ne pouvait décider à la place de cette femme et que, de toute façon, il ne serait pas entendu. Il me ramena chez lui, dans mon nouveau chez moi, un peu après. Je n'eus pas le courage de me réjouir, ni la capacité de m'émerveiller. La première chose que je fis fus de vomir tout mon saoul. Puis je tentai de dormir, mais j'en fus bien incapable. Mon cerveau me ramenait à ce chemin de fer, à cette forêt. Mon imagination se chargeait de compléter pour moi ce que je n'avais pas réussi à voir dans le noir, comme si les images et les sons que j'avais réellement vus n'avaient pas suffi.

Le lendemain, je suppliai Nirav de retourner à l'hôpital. Dans la lumière du jour, je pus voir distinctement toutes les souffrances que la femme avait endurées. Iniya, de son prénom, était réveillée, sortie d'affaire, aussi Nirav fut-il l'interprète entre elle et moi.

La conversation que l'on échangea me révolta. Elle ne porterait pas plainte. Des événements comme celui qu'elle avait vécu arrivaient à chaque jour et personne ne s'en souciait. Les policiers lui diraient d'abandonner l'affaire, elle le savait. Le pire, ce fut quand elle me dit que tout était de sa faute, au final. Elle n'aurait pas du se promener sans un homme de sa famille ce soir là. C'est pour ça qu'ils l'avaient violée, parce qu'elle avait désobéie. Elle me remercia de m'être occupée d'elle, me disant que je n'aurais pas du, mais que cela lui avait évité beaucoup de souffrance. Je ne pus rester plus longtemps, c'était plus que ce que je pouvais supporter.

Nirav tenta de me changer les idées le restant de la journée, m'entraînant de visites en visites. Oui, la ville était belle. Oui, les monuments étaient magnifiques. En effet, les femmes étaient resplendissantes dans leurs fines étoffes de toutes les couleurs. Oui, la nourriture sur les étalages sentait merveilleusement bonne. Mais j'étais imperméable à tout cela. Combien de ces femmes, dans cette si jolie ville, avaient été victimes de pareils outrages? Plusieurs si je me fiais au propos de Nirav et d'Iniya et pourtant, elles souriaient toutes.


La semaine passa très lentement. Je ne retournai pas à l'hôpital et tentai, comme Nirav me l'avait conseillé, d'oublier les événements. C'était chose impossible. Tout comme ma première journée d'exploration, je fus incapable de m'émerveiller durant les multiples visites. Mes nuits étaient cahoteuses et peuplées de violeurs nocturnes. Chaque jour me voyait plus fatiguée et moins encline à découvrir. Mon guide jurait dans sa barbe, regrettant que j'aie assisté à un pareil spectacle.

À la fin de la semaine, je n'y tins plus. Je recontactai l'agence pour leur dire que j'arrêtais mon voyage. J'avais déjà payé le premier mois à Nirav, je ne lui demanderais pas de me redonner l'argent en surplus. Quelques heures plus tard, j'étais attablée avec Nirav et sa femme, une étoffe de soie trônant entre nous, en guise de portoloin.

-Êtes-vous bien sûre que c'est ce que vous voulez, Hermione?

-Je n'y arrive pas, Nirav.

-Que vous soyez ici ou chez vous, il y aura encore des femmes qui se feront violer à chaque jour. C'est hors de votre contrôle, alors ne vous empêchez pas de vivre pour cela.

Ses paroles me donnèrent un haut le cœur. Il n'était pas méchant, il ne se régalait pas de ce fait. Il énonçait une vérité, avec le maximum d'indifférence possible. Il était lui aussi touché par toute cette histoire. Le pire, c'est qu'il avait raison. Peu importe où je me trouverais sur la planète, des femmes se feraient violer. J'étais impuissante.

-Vous aie-je déjà dit ce que signifie mon nom?

Je secouai la tête.

-Il signifie tranquille et silencieux. Cela ne veut pas dire que j'approuve, mais je garderai le silence. Tout cela fait partie de notre culture. Je prends soin de ma femme et si un jour nous avons une fille, je m'assurerai que rien de tel ne lui arrive. Restez et apprenez à connaître notre culture, arrêtez de vous buter.

Avais-je mis des œillères, m'empêchant de comprendre l'inactivité des Indiens face au viol? Peut-être. Mais je ne voulais pas les enlever. J'avais compris qu'ils étaient très patriarcaux. Ce n'était pas une raison suffisante à mes yeux.

-Je trouverai un moyen d'être utile, Nirav, mais pas ici. Je dois retourner chez moi et prendre du recul. Je reviendrai peut-être un jour.

On échangea les civilités d'usage et je me saisis du portoloin, bien déterminée à mettre derrière moi cette expérience ratée. Je savais ce que je voulais faire de ma vie désormais. Je ne perdrais plus une seule seconde avant d'y être arrivée.


Le portoloin me laissa devant la grande grille en fer forgé du manoir Malefoy. On était en après-midi, le soleil était encore haut dans le ciel. Il avait perdu de sa chaleur avec l'arrivée du mois de septembre, mais la fraîcheur me réconforta. J'étais chez moi.

-Hermione?

Le port altier et le visage hautain de Narcissa Malefoy laissa tomber le masque pour la première fois. Surprise. J'en fus fière. Ce n'était pas la première fois qu'elle utilisait mon prénom, même si on pouvait encore compter les fois sur les doigts d'une main. Je lui avais demandé d'arrêter d'utiliser mon nom de famille quelques semaines plus tôt. Elle avait fait des efforts pour accéder à ma requête, sa tâche facilitée à force d'entendre son fils m'appeler par mon prénom. Par contre, c'était tout nouveau pour moi de voir son masque d'indifférence se briser.

-Vous n'étiez pas partie pour trois mois?

Elle se rattrapait, cachant son étonnement derrière ses respectueuses paroles. Avoir su, je prévoirais plus souvent d'avorter mes voyages.

-Puis-je entrer?

-Bien sûr, suivez-moi.

Embarras cette fois-ci, trahi par un bref baissement de tête. Elle avait oublié ses bonnes manières en se plantant devant la porte pour m'interroger. Même si je connaissais les pièces principales du manoir comme ma poche, elle se fit le guide. On s'installa dans les divans du salon et un elfe de maison vint nous servir à boire.

-J'ai décidé d'annuler mon voyage.

Son masque d'aristocrate tint bon, elle inclina la tête pour me faire signe de poursuivre, sans pour autant laisser transparaître sa curiosité.

-J'y ai vu des choses qui m'ont changée. Ça m'a ouvert les yeux. J'ai compris ce que je voulais vraiment faire dans la vie.

-Ce choix est un cadeau, Hermione, prenez-en soin.

Un choix qu'elle n'avait pas eu, celui de choisir sa propre voie, un métier, une vie. Tout lui avait été imposé. Narcissa Malefoy l'avait compris à ses dépends, avoir le choix était un cadeau précieux, trop souvent usurpé.

-Racontez-moi plutôt ce que vous y aviez vu.

Si elle avait été émue par la liberté que je détenais, les horreurs que je lui racontai ne l'ébranlèrent pas. Cette femme avait connu deux guerres, la famille Black, un mari violent et un seigneur des ténèbres. Avec les années, elle était devenue insensible aux cruautés des hommes et aux souffrances des plus faibles. Pendant un cours instant, je souhaitai être comme elle. J'aurais ainsi pu être hermétique au viol d'Iniya. Je me ravisai bien vite. Personne ne devait s'habituer à pareil traitement, auquel cas les choses ne changeraient jamais.

-Je sais que Drago n'est pas là, mais j'aimerais rester et en profiter pour faire quelques petites choses importantes, si ça ne vous dérange pas?

Narcissa acquiesça et je m'empressai de fuir ses yeux bleus endurcis par les souffrances. Cette femme était comme son fils, une vraie montagne russe. Quand elle m'avait ouvert la porte, j'avais cru possible la promesse que j'avais faite à Drago, celle de réhabiliter sa mère à notre monde. Présentement, je ne savais plus. Ma mission me paraissait impossible.


-Bonjour fils. Passé une bonne journée?

-Épuisante! Mais j'ai beaucoup appris, c'est l'essentiel, non?

-Oubliez le divan un instant. Il y a une surprise qui vous attend dans votre chambre.

Cachée derrière la porte de la chambre de mon amoureux, je tendais l'oreille et rigolais dans ma barbe. Peut-être ferait-il une syncope en me voyant? Je m'imaginais déjà la scène. Bon sang que j'avais hâte de le revoir! J'ignorais comment j'aurais pu tenir trois longs mois, car je m'ennuyais tellement après cette petite semaine. Je l'entendis approcher, alors je me retirai de ma cachette et allai m'installer sur son lit, tout sourire.

-Hermione?! Mais… qu'est-ce que tu fais ici?

Son ton était à cheval entre la joie et l'inquiétude. Inquiétude pour moi, pour les raisons qui m'avaient ramenée si tôt entre ses bras. En deux enjambés, il se tenait devant moi et je me jetai dans ses bras. Ses bras étaient fermement noués autour de ma taille, me soulevant de terre. J'éclatai en sanglots.

Je me sentais en sécurité, aimée. Son odeur, les moindres recoins de son corps m'étaient familiers. J'étais chez moi, loin des viols et de l'indifférence. À chaque larme, je me détendais un peu plus, tandis que je sentais la panique l'envahir. Il ne disait rien. Il était fidèle à lui-même. Comme à Poudlard, il était là quand j'avais besoin de lui, prêt à me réconforter en silence, à attendre que je sois prête à parler.

Au bout d'une demi-heure, je fus prête. On était couché sur le dos, son bras était posé dans le creux de mon dos, ma tête sur son épaule. On fixait le plafond, laissant mes larmes se tarirent peu à peu. Je lui racontai ce que j'avais vu, ce que j'avais entendu, ce que j'avais ressenti, ce que j'avais décidé. Je lui racontai ma détresse et le bien fou qui s'était emparé de moi quand il m'avait pris dans ses bras. Il m'embrassa sur le front, tendrement.

-L'idée d'avoir envie de toi, d'avoir eu du plaisir avec le sexe… Ça me tourmente. Comment je peux apprécier une action qui peut détruire quelqu'un? Est-ce que je peux faire l'amour avec toi après avoir vu ça?

-Il y a une différence, entre un viol et faire l'amour. Ça implique les mêmes parties du corps, mais pas les mêmes sentiments. Tu ne dois pas te sentir coupable.

-Crois-tu que j'ai fui? Penses-tu que j'aurais pu faire quelque chose? Je me sens tellement coupable… et si impuissante!

-Non. Tu as fait tout ce que tu pouvais, et même plus. Tu es restée et tu l'as secourue. Tu as accepté de partager sa douleur. Ne te sens pas coupable, ce sont ses agresseurs les coupables. Souviens-toi de tout et quand tu douteras de tes choix, quand tu ne seras plus sûre d'avoir choisi la bonne voie, rappelles-toi toute la rage que tu ressens envers eux. Tu es une battante, Hermione Granger, ne l'oublie pas.


Alors voilà, j'attends vos commentaires.