![]() Author has written 137 stories for Tales of Symphonia, Harry Potter, D.Gray-Man, Saint Seiya, Fire Emblem, Saiyuki, Code Geass, House of Flying Daggers, Glee, Merlin, Titanic, Doctor Who, Firefly, Final Fantasy VII, Avatar: Last Airbender, Parasol Protectorate Series, Legend of Korra, Buffy: The Vampire Slayer, Rose of Versailles, Yuri!!! on Ice, Heroic Legend of Arslan/アルスラーン戦記, Sweet/Vicious, Strange Empire, Black Sails, Dragon Age, Shadowhunters, Miss Fisher's Murder Mysteries, Transistor, 12 Monkeys, Fullmetal Alchemist, Leverage, Queen's Thief series, ManHua/Chinese Comics/漫画, Nirvana in Fire/琅琊榜, Legend of Fuyao/扶摇, She-Ra and the Princesses of Power, Misc. Tv Shows, Untamed/陈情令, KinnPorsche the Series La 'forte, and Arsène Lupin. Le coin des nouvelles : N'ayant pas un amour particulier pour toutes les structures LJ/blog/autres, je me suis dit que mettre quelque mots ici concernant l'avancement de mes projets. 25 octobre 2017 Je me suis inscrite au NaNo pour rédiger enfin l'OS Regulus dont vous avez quelques traces dans mes OS HP récents. Promis, je finirai par la poster, cette fic ! En attendant, vous avez divers OS dans cet univers : Question Fatidique, De Merlin, Morgane et Mordred, Quelque chose a changé et Léo Poldine qui joue les architectes de cette univers a commencé un recueil d'OS dans cet univers (Désobéir un peu...) que vous trouverez dans mes fav'. Si vous voulez une version plus claire, rendez-vous sur Archive of Ou Own, où j'existe avec le même pseudo et où la série rassemble tous les textes ;-) 22 septembre 2017 J'ai supprimé Accumulation"(OS sur Korra et Asami et l'homophobie ordinaire écrit pour une nuit du Fof). Pour m'expliquer : j'ai regretté ce texte dans la semaine après l'avoir posté ; regretté ma manière d'avoir abordé le sujet, ma manière d'avoir présenté le tout. J'ai été, du début jusqu'à la fin, incapable d'apprécié les reviews, pourtant positives, que j'ai reçu sur lui. J'ai pensé pendant un temps qu'il était quand même important qu'il reste, parce que la question de l'homophobie ordinaire est rarement traitée dans les fics et qu'il pourrait, peut-être, sensibiliser des gens, mais même cette logique n'était pas suffisante. Le coin 'pub' Vous vous sentez seuls, à parler de fanfiction ? Vous avez envie d'échanger avec d'autres auteurs à propos de cet univers, ou de tout et de rien ? Il existe un forum francophone *bruit de trompette* N'hésitez pas à y faire un tour, l'ambiance est bonne, il y en a pour tous les goûts, des plus techniques aux plus farfelus Pour parler plus largement films, bouquins, séries télé, mangas..., cliquez sur le FOC et vous arriverez à bon port Vous vous demandez le pourquoi du comment quant aux nombreuses demandes de reviews des auteurs ? Il est difficile, parfois, de juger de la qualité de sa fic quand on a beaucoup de lecteurs, mais peu de reviews, et pour certains auteurs, cela va jusqu'à leur donner envie d'arrêter d'écrire... De la même façon, vous vous demandez bien pourquoi vous laissez des reviews alors que les auteurs ne vous répondent pas ? Bref, toutes ces interrogations vous touchent ? Le FIC (Front d'Incitation aux Commentaires) est fait pour vous. Vous ne parlez pas anglais ou très mal et vous ne comprenez pas tout ce qu'on vous raconte sur le site ? Il existe une traduction française, agrémentée de nombreux articles sur la fanfiction, et c'est ici ! Le coin "moi je" sans modération ... Ce qui ne m'empêche pas de tout effacer histoire que ce soit un peu moins long. En tant que personne, je ne dirai qu'une seule chose : on me traite souvent de Serdaigle à principe, et cela me défini très bien ! J'ai longtemps rêvé, à l'époque où je commençais à écrire d'écrire le nouveau Seigneur des Anneaux. Que dire ? Mes tentatives (qui ne sont trouvables nulle part sauf chez moi) ont été des échecs retentissants qui ont l'avantage de me rendre nostalgique et de me faire beaucoup rire parce que, franchement... c'est nul. Et en terminale, j'ai eu ma révélation personnelle, en suivant des ateliers d'écriture. Pour la première fois, j'arrivais à faire parler les mots - pas à mettre des mots sur une histoire, mais à les faire parler. Soudainement, l'important, ce n'était pas l'histoire que je racontais et son originalité en terme de scénario, mais c'était la manière de la raconter, la manière de la mettre en mot. Révélation - et déchirure : depuis, j'ai le plus grand mal à mettre des scénarii sur pieds et encore plus pour me lancer dans l'original (alors qu'avant, c'était l'inverse). Tant mieux pour la fanfic. Tant pis pour mes rêves. J'ai très souvent l'envie et l'ambition d'écrire des textes d'émotions. Cela s'accorde à mon manque d'histoire, je suppose. Une émotion, c'est un instant pris sur le vif, un moment qui est d'abord de l'indicible. Je connais trop souvent cette frustration devant un texte où je lis "il était triste" mais où je ne ressens pas de tristesse, pas l'impression que le monde est gris, dehors, pas la lourdeur à l'intérieur, pas la gorge qui se serre et le besoin du thé chaud comme réconfort. Être triste, c'est un peu tout cela à la fois, et de multiples variantes selon les auteurs et leurs personnages - se contenter, pour moi, de dire "je suis triste", cela ne suffit pas. J'ai une profusion de textes mélancoliques. J'ai rarement des textes uniquement tragiques et sans lueur d'espoir ; mais beaucoup qui explorent le mal de vivre et qui tentent aussi d'en trouver une sortie - sans jamais le nier. Mais toujours - toujours - une sorte de porte de sortie, que ce soit l'espérance de lendemains qui chantent, un rire perlé de tristesse ou le réconfort de la tendresse d'un autre. Doux-amer. Toujours. Parce que, s'il n'y a pas de bonheur absolu, il n'y a pas, non plus, de malheur qui le soit. Je n'écrirais sans aucune doute jamais sur les oeuvres qui m'ont marquée en tant que personne, sur ces univers que j'aime inconditionnellement. J'ai toujours besoin d'un "manque" pour écrire et ces livres là sont trop entiers dans ma mémoire pour que je puisse me laisser la liberté de rédiger quelque chose. Bref, j'écris de la fanfic sur les univers dont je ne suis pas "fan". Et, parce que j'ai toujours l'impression d'avoir une famille de littérateurs qui m'entourent lorsque j'écris une fic et qui marquent, de plus ou moins loin tout ce qui passe sous ma plume, je me permet de vous les présenter. Bottero, d'abord, qui m'a accompagné tout au long de mon adolescence (comme l'a fait Harry Potter pour bien des gens de ma génération) et qui reste, avec Ellana, un point fixe dans ma vie aussi bien personnelle que dans l'écriture. Je ne saurai en dire plus ; les mots ne suffisent pas. Barbara (oui, la chanteuse) qui est ma "mère" littéraire. Rares sont les textes que j'ai écrits sans voler une ou deux de ses expressions. Elle sait dire la vie à haute voix avec une simplicité et une poésie qui me dépasse et que je voudrais lui voler (mais elle est une voix et moi une plume et c'est impossible de le faire directement - heureusement !). C'est grâce à elle que j'ai su intimement, ce que cela voulais dire de créer sa langue et donner à entendre des mots. Une histoire de "bruit semant d'aile"... Gide, pour ses théories plus que pour ses écrits et la façon dont il s'amuse très sérieusement, à modifier les codes du récit dans les Faux-Monnayeurs. Je garde de lui cette envie d'instaurer le doute, de jouer avec les métaphores pour qu'elles puissent être prises au sérieux... ou pas. Bref, l'art de l'entre-deux (et de rendre le lecteur un peu confus) qui est devenu l'une de mes règles quand je veux écrire sérieusement. Laurent Mauvignier pour sa maîtrise du flux de conscience... qui n'écarte pas l'histoire. Presque l'envie de m'exclamer "enfin un francophone qui le fait bien !" si j'avais lu tout ce qui a pu s'écrire dans cette veine (ce qui est loin d'être le cas). Mais son livre "Dans la foule" m'a définitivement prouvé qu'on pouvait avoir une histoire qui se tenait tout en suivant les pensées des personnages (et un jour, un jour, je ferai la même chose !) Et Virginie Lou, enfin, pour m'avoir accouchée pendant ses ateliers d'écritures. Pour m'avoir donné à la fois des pistes (le "tu", c'est elle qui me l'a soufflé) et des mots, des concepts pour que je comprenne un peu mieux ce qui se passe quand on est aligneur de mots (les "tournants", c'est elle ; "le regard du lecteur par dessus mon épaule", elle encore...). Et surtout, surtout, pour m'avoir donné de nouveaux horizons quand je sentais mon écriture en train de s'épuiser. |